Quatr’un

Quatr’un (Four One) is an expanded version of RR and uses musicals models as paradigm. The central part of each section of the films is based on a transcription of a Bach invention for two voices. The four screens underscores this paradigm in so far as one is always the simultaneous reflection of the visual development of the other, regardless of the position of the reels (left or right) the technique of inversion of a theme so often used in music.

The use of mirroring deliberately sidesteps the question of the reality of representation. It no longer has any importance, now that we’re in the domain of the reflected image, of imitation. The four images reflect one another in a constant back and forth, mimicking to a certain extent the development of the (fake) pans which comprise the film. The pans metaphorically evoke, if only superficially, the keyboard.

 

 

À partir d’une transcription d’une fugue de Bach, son expansion dans une forme à quatre voix. Mise en miroir d’une image, de mouvements et de séquences sur un paysage champêtre qui se dissout dans sa multiplication. Renvois cinématographiques évoquant les compositions classiques de la musique baroque et de son recours au développement fugué en miroir et en inversion.

 

Avec Quatr’un nous sommes en présence de quatre images qui chacune mire celle attenante ; horizontalement et verticalement. Les notions de développement d’un thème, de renversement, de miroir et renversement rétrograde semblent ainsi déployées, comme si quelques unes des figures du discours musical étaient soudain proposé de visu.

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