Archives de catégorie : Ecrits

Norman McLaren

2010, in Zelluloid Film ohne Kamera/ Cameraless Film, Schirn Kunsthalle Frankfurt, Kerber Verlag, 2010

in Zelluloid Film ohne Kamera, edited by Esther Schlicht / Max Hollein, catalogue published in conjunction with the exhibition Celluloid, Cameraless Film Schirn Kunsthalle Frankfurt June 2/ August 29, 2010, in English and German.

Dieter Roth

2010, in Zelluloid Film ohne Kamera/ Cameraless Film, Schirn Kunsthalle Frankfurt, Kerber Verlag, 2010

in Zelluloid Film ohne Kamera, edited by Esther Schlicht / Max Hollein, catalogue published in conjunction with the exhibition Celluloid, Cameraless Film Schirn Kunsthalle Frankfurt June 2/ August 29, 2010, in English and German.

Pierre Rovere

2010, in Zelluloid Film ohne Kamera/ Cameraless Film, Schirn Kunsthalle Frankfurt, Kerber Verlag, 2010

in Zelluloid Film ohne Kamera, edited by Esther Schlicht / Max Hollein, catalogue published in conjunction with the exhibition Celluloid, Cameraless Film Schirn Kunsthalle Frankfurt June 2/ August 29, 2010, in English and German.

José Antonio Sistiaga

2010, in Zelluloid Film ohne Kamera/ Cameraless Film, Schirn Kunsthalle Frankfurt, Kerber Verlag, 2010

in Zelluloid Film ohne Kamera, edited by Esther Schlicht / Max Hollein, catalogue published in conjunction with the exhibition Celluloid, Cameraless Film Schirn Kunsthalle Frankfurt June 2/ August 29, 2010, in English and German.

Marcelle Thirache

2010, in Zelluloid Film ohne Kamera/ Cameraless Film, Schirn Kunsthalle Frankfurt, Kerber Verlag, 2010

in Zelluloid Film ohne Kamera, edited by Esther Schlicht / Max Hollein, catalogue published in conjunction with the exhibition Celluloid, Cameraless Film Schirn Kunsthalle Frankfurt June 2/ August 29, 2010, in English and German.

Code source, ouvert (Fr)

in Lev Manovich : Le langage des nouveaux médias Les presses du réel, 2010

 
« Code source ouvert »
Yann Beauvais
(extrait, p. 9-11)Bien que les cinéastes expérimentaux aient souvent travaillé selon des formes et des structures qui seront largement utilisées par les nouveaux médias, l’irruption et la domination de ceux-ci a entraîné une réévaluation de ces pratiques cinématographiques.
Le cinéma expérimental a travaillé autour de l’abstraction, de la non-linéarité et du cinéma élargi au moyen de techniques particulières qui font appel aux boucles, à la programmation, à l’inclusion de strates graphiques et photographiques – au niveau de la production d’image composite dans le même cadre ou en dehors d’un cadre fixe – pulvérisant ainsi les notions de collage et de montage.
On entrevoit ici les interactions possibles entre le cinéma expérimental et la production néomédiatique, ainsi que les questions que ces interactions supposent. En tant que cinéaste et théoricien,malcolm Le Grice a interrogé ces relations. La spécificité des objets médiatiques fait de leur accessibilité un facteur qui échappe à la linéarité : on ne suit plus une chaîne linéaire pour accéder aux informations. C’est en ce sens que la numérisation offre aux cinéastes de nouveaux chemins d’explorations en faisant par exemple de la base de données un réservoir potentiel de propositions esthétiques. ici se greffent les notions de variations et de permutations qui désignent les comportements d’objets visuels selon des opérations s’écartant de la narration, au profit de la notion de programmation en acte dans le langage informatique.C’est en tant que cinéaste expérimental que j’ai découvert les écrits de Lev Manovich. Préparant la manifestation « Monter Sampler – L’échantillonnage généralisé » pour le Centre Pompidou à l’occasion de sa réouverture fin 2000, j’ai pris connaissance de certains de ses textes disponibles sur le réseau. Parmi ceux-ci, quelques-uns soulignaient l’importance du cinéma dans l’archéologie des nouveaux médias. Lev Manovich n’était pas le premier à envisager un tel lien, mais il est sans doute celui qui a su établir de manière consistante une filiation entre cinéma d’avant-garde et nouveaux médias. La lecture de The Language of New Media une année plus tard (1), ouvrage dans lequel Levmanovich insiste sur la dimension poétique et esthétique des technologies numériques, faisant de L’Homme à la caméra de Dziga Vertov l’un des chaînons marquants de cette histoire toujours en devenir de ces médias, tout en présentant le cinéma comme le moyen à partir duquel nous avons accès aux nouveaux médias et interagissons avec ceux-ci, confirma cette impression. L’annexion du film de Vertov dans cette histoire en a perturbé plus d’un, soit par son entorse à l’orthodoxie (2), soit parce que cette approche réactualisait, s’appropriait l’aspiration radicale au cinéma que représentait l’icône Dziga Vertov.
Le cinéma est à la fois source et paradigme des nouveaux médias. Source, car il est l’instrument qui permet de comprendre la transformation de la représentation au travers des écrans qui la conditionnent. on passe ainsi de l’écran classique (une surface rectangulaire, une « fenêtre sur le monde » comme l’envisage André Bazin) qui propose une vision frontale d’un espace figé, à l’écran dynamique où les images sontmouvantes et induisent d’autres régimes de la vision et où les questions de l’immersion et de l’identification du spectateur sont prépondérantes. Paradigme, car il modélise les comportements d’outils de l’ordinateur ; le recours aumontage sous la forme généralisée du « couper/ coller » qui s’applique à n’importe quel objet et rend obsolète la différenciation entre médias temporels et spatiaux. De même, « le modèle de la caméra est devenu au cours des années 1980 et 1990 une convention des interfaces, au même titre que le défilement des fenêtres sur un écran ou les opérations couper/coller » [p. 180].

En vue de procéder à cette archéologie, Lev Manovich repère cinq principes du nouveau statut des médias, qu’il caractérise comme principes des objets néomédiatiques : représentation numérique, modularité, automatisation, variabilité et transcodage culturel. Son analyse fait appel à la préhistoire du cinéma, aux outils qui le préfigurent et qui anticipent aussi ceux de l’ordinateur. il en va ainsi de la mise au point du médium de stockage et d’une méthode de codage des données. Si les inventeurs du cinéma ont privilégié l’enregistrement discontinu des images sur un ruban, c’est le codage binaire sur pellicule 35mm recyclée qui a été choisi dans un premier temps pour le stockage des informations d’un ordinateur. Demême, la boucle est centrale pour le cinéma et pour la programmation informatique et Levmanovich lui fait la part belle dans l’ouvrage. on pourrait d’ailleurs déplorer qu’il ne se réfère pas à la boucle dans le langage musical où elle est tout aussi centrale, dans les canons et les ritournelles notamment.
Chaque principe fait l’objet d’une analyse qui dépasse la seule approche technologique, l’élevant ainsi au rang de catégorie culturelle. Par exemple, la modularité montre bien comment les nouveaux médias possèdent la même structure à différents niveaux. un objet médiatique est constitué de parties indépendantes qui sont accessibles, modifiables et combinables, sans pour autant perdre leur identité ; et ceci à différentes échelles.

Pour décrire et comprendre la logique qui commande le développement du langage des nouveaux médias, Lev Manovich procède d’un matérialisme numérique qui consiste en l’examen attentif des principes du matériel informatique et des opérations que comporte la création d’objets culturels sur un ordinateur.

(…)

1 Publié par le MIT en 2001, le livre est finalement traduit en français. un chapitre traduit en français est apparu dans le catalogue Monter Sampler, Éd. Yann Beauvais, Scratch et Centre Pompidou, Paris, 2000, et dans Connexions, art, réseau, média, Éd. Annick Bureaud et Nathalie Magnan, École nationale supérieure des beaux-arts, Paris, 2004.
2 Voir par exemple le n° 100 de la revue October, « introduction », printemps 2002, et Vertov From Z to A, introduction de Peggy Ahwesh et Keith Sanborn, Éd. La Calavera, 2007.

Paul Sharits (Pt)

2 dezembro 2010 12 festival Internacional de Curtas Belo Horizonte, Palacio das Artes,Curso de Introdução ao Cinema Experimental (2)

Paul Sharits nasceu em 8 de Julho 1943 e morreu em 8 de Julho 1993
Paul Sharits sobretudo é conhecido como cineasta. Contudo, a sua prática não se limitou ao campo cinematográfico. A pintura, o desenho, a escultura e as performances têm uma forte presença, freqüentemente ignorada e no entanto essencial se queremos compreender a amplitude e singularidade de seu trabalho artístico. Os seus trabalhos cinematográficos e pictóricos organizam-se segundo dois eixos : um formal, próximo do musical, participa do mundo da abstração, enquanto o outro estende-se ao campo psicológico e afetivo da figuração.

Na infância, a pintura e o cinema eram bastante próximos ; as pinturas de um dos seus tios fascinava-o. O cinema estava presente através da crônica familiar que o seu padrinho realizava, em 16mm. Foi ele quem lhe ofereceu a primeira câmera, bem como vários rolos de filme refugado, que Paul Sharits utilizou para realizar o seu primeiro filme : um drama psicológico, que fez aos 15anos . Após estudar pintura na universidade de Denver, passa a dedicar-se ao cinema. O seu trabalho em cinema interroga a capacidade do suporte de produzir trabalhos que sejam anti-ilusionistas a partir dos elementos do dispositivo, ou seja : a fita e os fotogramas da fita, tanto quanto o desfile e por conseguinte a projeção, nos seus filmes de múltiplas telas, ou suas instalações..

Nos anos 60, Paul Sharits vai da pintura ao filme : « Parei de pintar em meados dos anos 60, mas tornei-me cada vez mais engajado com os filmes, tentando isolar e extrair a essência dos aspectos de sua representação  » Três acontecimentos favorecem esta mudança, um pertence ao campo artístico : a descoberta da moto de Christo . « Depois, vi a moto de Christo e pensei que nunca chegaria àquilo, a atingir aquela concisão de pensamento Os outros fatos são de ordem psicológica : o suicídio de sua mãe e o tornar-se pai levam-no a deixar a pintura em proveito do desenho industrial. A experiência não é conclusiva. Todos os acontecimentos provocam o abandono do projeto Ilumination, Acident , levam-no a privilegiar um percurso radical em cinema, e se tornará, logo, cineasta. Como diz ele mesmo, « A cinemática significa um tratamento cinemático de temas não-fílmicos ; eu busquei interrogar os materiais e os processos do meu meio, de acordo com modalidades básicas como tema, e de acordo com princípios globais adequados. » Realiza então o filme que virá a ser, depois, Ray Gun Vírus, e que lhe tomará três anos. É nesse mesmo momento que encontra uma maneira original de escrever, desenhar as « partituras » de seus filmes e os desenhos modulares sobre papel quadriculado. Este sistema de notações sara liberado desta fonte, e fará com que retorne à pintura abstrata, inicialmente, e depois à pintura figurativa, a partir do fim dos anos 70. Durante seus estudos, ele funda, em 1962, a Denver Experimental Film Society, o que lhe permite ver os filmes que não tinha visto até então. É na seqüência da projeção de um filme de Stan Brakhage – Dog Star Man – que tem início uma correspondência entre os artistas, na qual Sharits discute o seu próprio trabalho .
Os primeiros trabalhos cinematográficos participam desta tendência psicodramática, que recorre a atores e explora temas da sexualidade, da solidão, da angústia e do medo ; nesse sentido, esses filmes reencontram e extraem no reservatório de temas e de motivos explorados por cineastas americanos das gerações precedentes, por exemplo Maya Deren, Kenneth Anger ou Stan Brakhage . Alguns destes temas retornarão num momento da sua obra cinematográfica posterior, ao lado de um cinema que analisa o funcionamento, as especificidades do médium, a partir do fotograma, da fita e da projeção. Esta démarche participa do projeto modernista, que privilegia assim uma ontologia cinematográfica. Este projeto é sintetizado de modo claro em Palavras por página , um estudo que serve de introdução a um curso que Sharits ministrou no Antioch Colégio, em 1970. Neste texto, precisava o que é próprio do cinema, reconhecia a importância do fotograma e da película como elemento constitutivo do ser do filme. Esta abordagem não deixa de evocar aquela outra, que defendia Hollis Frampton, alguns anos antes, numa conferência-performance Esta redução do cinema a seus elementos constitutivos efetua-se mais ou menos à sombra das teorias de Clement Greenberg quanto à pertinência reflexiva da prática artística que desencadeia , assim, a exploração de virtualidades específicas do meio utilizado pelos artistas.

Se a pintura se inscreve no dualismo entre abstração e figuração, o cinema de Paul Sharits tenta escapar desse tipo de exclusão mútua. Numa carta à Stan Brakhage , comunica a dificuldade em fazer filmes que são classificados na categoria de filme abstrato ; este último parece-lhe redutor e demasiado ligado à história da pintura e não à do cinema. Como admite a propósito dos seus primeiros filmes (que destruirá depois numa crise de raiva anti-narrativa), os seus filmes trabalham à margem destas categorias. Utiliza um termo que poderia ser aplicável igualmente à sua obra tardia. Num texto de 1963 , faz referência a suas experiências cinematográficas que designa como » imagens  » afim de distingui-las dos filmes mais tradicionais, fundados em um simbolismo literário ou verbal. » Nestes primeiros trabalhos dos quais Wintercourse (projeção da um trecho) é o único exemplo restante, a aparência da representação é posta em questão por uma fragmentação da continuidade narrativa do filme tradicional. Ele retornará contudo a este tipo de narrativa dinamitada em seus últimos trabalhos : Figment I : Fluxglam Voyage in Search of The real Maciunas e Rapture. Neste sentido, Paul Sharits retoma, a seu modo, com estas especificidades, a démarche, freqüente em numerosos cineastas do New American Cinema, que consistia em pulverizar a continuidade narrativa cinematográfica dominante, em proveito de uma afirmação de curtas unidades temporais trabalhadas a partir dos afetos. Em Sharits, a desconstrução narrativa radicaliza-se , já que não seria o caso de dar uma forma qualquer à narratividade, como o nouveau roman explora-o, ou o cinema Jean-Luc Godard ou mais ainda, Gregory Markopoulos . Este uso da fragmentação e experiência da imagem visa o filme como um todo, feito da totalidade do filme : uma imagem. Esta experiência Sharits percebe fortemente nos filmes de Stan Brakhage (Anticipation of The Night, puis Dog Star Man) mas também em Alain Resnais e Alain Robbe-Grillet (Ano passado em Marienbad). Encarar a experiência do filme como um todo, ou seja, como uma imagem, é pensar o cinema de acordo com todos os critérios que escapam sem dúvida às considerações plásticas clássicas, em proveito de um trabalho que privilegia a forma, e que contudo não é formalista. Compreende-se em quê a música, o seu sistema de notações, tanto quanto as suas estruturas de composição, (por exemplo sonate e os seus quatro movimentos) são exemplos privilegiados de Paul Sharits. Esta compreensão do filme na sua totalidade, como uma imagem, antecipa a visão espacial do filme, conferido pelo Frozen Filme Frames (quadro de película). O filme recorre à memória, enquanto a pintura oferece-se de um só golpe através de todos os elementos. O Frozen Filme Frames e a partitura sobre papel quadriculado permitem-nos apreender na sua totalidade o filme. A experiência temporal, até certo ponto, é desqualificada em proveito da experiência analítica que se estende através das « partições ».
No Frozen Filme Frames distingue-se a estruturação e a distribuição dos elementos em jogo, que a experiência da duração oculta pela fusão destes mesmos elementos num fluxo audiovisual. É uma experiência similar, embora distinta, que desdobram as instalações multi-telas de Paul Sharits. Uma vez ainda, tudo nos é dado imediatamente ; no limiar da obra, ele percebe os diferentes elementos cujas variações e combinações vão alimentar e tornar-se a experiência da obra.. Não é necessário esperar-se um desenvolvimento narrativo que alteraria a percepção da instalação, como realiza à sua maneira o filme/instalação de Anthony McCall : Line Describing A Cone.

Trata-se de trabalhos « que elaboram as possibilidades de composição oscilatórias, eles não se concluem, não são dramáticos e não se desenvolvem.  » A experiência da duração altera a percepção que temos da obra instaurando a dimensão temporal, realçada por uma banda-som que as notações, Frozen Filme Frames, não convocam.

Razor marca tanto uma ruptura (pode-se falar de tabula rasa-se perante os seus escritos da época nos quais ele não é nada terno com a vanguarda cinematográfica daquele momento) quanto um verdadeiro início. Com efeito, Razor Blades distingue-se radicalmente de do que se fazia na época, quando até mesmo certos cineastas – Peter Kubelka, Tony Conrad e Victor Grauer trabalharam o flicker film. Os filmes dos dois primeiros cineastas são em preto e branco, enquanto Archangel de Grauer : (que é também um músico ) em é cor. Kubelka e Conrad não interrogaram a dimensão plástica e afetiva da cor. A abordagem de Peter Kubelka em Arnulf Rainer é dominada pelo musical enquanto a matemática, e o fato de jogar com o Theater of Eternal Music e de ter feito ensaios com as luzes estroboscópicas que serviram de apoio à The Flicker de Tony Conrad .

Com Ray Gun Vírus, Paul Sharits não fala mais de filme abstrato, ainda que o filme consista numa sucessão estroboscópica de fotogramas de cor pura, acompanhada do som das perfurações. Trata-se de um filme concreto, na medida em que trabalha a partir da materialidade mesma do suporte. Joga com os elementos constitutivos do suporte, a perfurada ou o grão Apparent Motion. O filme trabalha de acordo com ritmos e encadeamentos de cor que fazem da sua experiência uma prova visual tanto quanto uma tomada de consciência quanto à especificidade da experiência proposta . O filme resiste ? Onde torna-se tela para a sua percepção ? O filme propõe-nos uma experiência específica, que consiste em uma troca entre o que é projetado : que percebe-se, e o que se manifesta na tela. O filme resiste à análise da sua experiência durante a projecção. O piscar [flicker] faz-nos passar do espaço público – a sala -, a uma experiência íntima : a análise dos fenômenos da nossa percepção do filme , antes de nos remeter, violentamente, para a tela. Vai-se do piscar [flicker] à percepção física da tela (efeito de volume) e da tela ao flicker, mas esta oscilação altera a percepção que temos ao mesmo tempo da tela e do flicker. No flicker filme de Sharits, a pergunta da imersão desenvolvida nas instalações, é constitutiva da experiência da projeção. A experiência de Ray Gun Vírus, também é marcada por uma crueldade específica, pois é acompanhada da constante perturbação das perfurações, cujo scansion opõe-se à fragmentação cromática do flicker, que responde a outras lógicas de encadeamento. Esta repetição regular das perfurações antecipa a banda-sonora de certos filmes nos quais uma palavra é repetida indefinidamente, como nos filmes T.O.U.C.H.I.N.G., Inferential Current ou Episodic Generation ou por a instalação Sound Strip / Film Strip. Mas é Color Sound Frames que prolongará diretamente essa trepidação com a refilmagem em diferentes velocidades , e em som sincrônico, o desfile de fitas com as suas perfurações. Inferential Current desdobra processos sonoros similares a esses, estendidos à imagem. Neste filme, duas fitas de flicker film desfilam segundo direções opostas. De acordo com a velocidade do desfilar de uma das fitas, a palavra repetida de cada uma das bandas-sonoras, produz blocos de sentido em turbilhão, como se dá por exemplo em Come Out ou It’ s Gonna Rain, de Steve Reich. A superposição dos ciclos[boucles] sonoros, em fase ou não de acordo com as suas acelerações ou atrasos, é produtora desses efeitos, que se afastam do percepção visual, apesar de uma similaridade processual.

Com Sears Catalogue 1-3, Dots 1& 2, Wrist Trick, Unrolling Event, Word Movie/Fluxfilm 29, Ray Gun Virus, Piece Mandala/ End War , Razor Blades, T.O.U .C.H.I.N.G. e N :O :T :H :I :N :G, Sharits mistura aos fotogramas de cores puras fotografias e ilustrações. A dinâmica conflituosa entre os elementos utilizados é sublinhada pelo aspecto fragmentário dos primeiros filmes que trabalham de acordo com uma acumulação de curtos loops distintos . Permitem-lhe instaurar conjuntos de tonalidades, séries cromáticas que produzem efeitos de volume, profundidade das contrações e expansões do campo colorido alterado de acordo com a velocidade pisca pisca tanto quanto pela dominante que distribui-o. Estes primeiros filmes fazem-lhe constatar as produções de formas emergentes, as suas deslocações, as suas velocidades algumas entre induzem formas mais ou menos grandes, enquanto que a deslocação parece procedente do retorno das cores utilizadas na duração. Razor Blades abre e fecha esta primeira série de filmes quem não se desenvolvem de acordo com formas simétricas, ou de acordo com Mandala como é o caso com Piece Mandala / End War, T.O.U.C.H.I.N.G. ou N :O :T :H :I :N :G. As variações cromáticas acentuadas dão-se autonomia perante os constituintes figurativos. Estas vias de evacuação cromáticas, estas irradiações emergem à maneira de fendas que fazem vacilar a nossa percepção do mandada em proveito imédiadidade do assalto cromático. Em N:O:T:H:I:N:G. a banda-som trabalha a percepção do flicker de uma nova maneira. Com Ray Gun Vírus a trepidação das perfurações induz fenômenos acústicos próximos de os que estendem a música de LaMonte Young ou Terry Riley : zangões (música de zangão). A palavra « destroy » muito brevemente repetida exceto para a secção central de T.O.U.C.H.I.N.G, dá forma do seu lado, relações causais entre o som e a imagem que não se reencontrará em N:O:T:H:I:N:G., quem privilegia do seu lado uma derivação acústica, para não dizer imprevisível. N:O:T:H:I:N:G. abre possibilidades de justaposição entre o som e a imagem que não são causais nem mesmos processuelles. Em T.O.U.C.H.I.N.G., cinco pronuncia da palavra « destroy » foram escolhidos e reunidos afastando os brancos que separavam-no a fim de constituir a banda-som do filme. Assim como observa-o Sharits a palavra « destroy » decompõe-se em duas partes » e « story » que induzem uma suspensão da compreensão da palavra ele – mesmo, e provoca o aparecimento de palavras parasíticas que crê-se entender, à imagem destas formas que aparecem nos flickers. A repetição sonora ao longo de todo o filme está adequação com a pulsação visual,enquanto que eclipsa-se ao centro do filme ou reina o silêncio. Com Word Movie (Fluxfilm29) o som das palavras escandidas parece responder, precedido, seguir o desfile algumas das palavras que aparecem à imagem, enquanto que N:O:T:H:I:N:G. justapõe temporalidades distintos. Entre a campainha elétrica de um telefone e a queda ao deslocamento de uma cadeira não se vê conexões imediatas, em contrapartida que sente-se : é uma afirmação das potencialidades inerentes do dispositivo ou pode-se ativar o plano sonoro fora da imagem, e contrariamente. O som deste filme é episódico, a maioria do filme é silenciosa, poder-se-ia dizer que quando o som emerge, transgride a imagem. No início do filme, entende-se brisa de um vidro, seguidamente o som de um líquido e no fim o filme, quando entende-se vacas meugler, deduz-se que tratava-se de leite. Não há lógica causal entre os acontecimentos sonoros e estes não são mais ligados ao visor. O som e a imagem estão num relatório conflituoso, contraditórios, quase surreal .

É necessário também questionar a relação entre os textos , humorísticos : « A-R-E-Y-O-U – D-E-A-D- ?-H-U-E – ? em Razor Blades, trashs e ele e as imagens figurativas, como funciona as injunções verbais (texto ao ecrã) e as imagens violentas : operações, agressões, e sexualidade. A pergunta do olho cortado reaparece-se várias vezes em Razor Blades, (dois demi-circulos que não formam um dos dois telas deste filme) e em T.O.U.C.H.I.N.G. (a operação do olho)
retorna à imagem recorrente de um Cão Andaluz, e atrasado em 3rd Degree, o ataque do rosto da mulher, seu ? através de um fósforo inflamado. Vê-se mais facilmente este rosto em Bad Burns porque o espécime é projetado normalmente, enquanto que a instalação 3rd Degree faz girar sobre um eixo a projeção de 90°. Em Razor Blades, uma seqüência faz alternar os rostos de um homem e uma mulher, com planos muito curtos de um pedaço de carne cortado em dois através razoar, seguidamente abrangidos de nata a barbear .
Em Sound Strip/Filme Strip a arranhão sobre perfurações participa deste mesmo humor que se brinca da capacidade do filme de produzir a ilusão visual. “ Aquilo não pode chegar porque a perfuração é um vazio : haver uma arranhão dentro desta ».
O vestígio dos arrahãos no rosto em T.O.U.C.H.I.N.G. inscreve-se numa rede de lantejoula, o que é pelo menos intempestivel. Está-se na presença de uma representação falsificada, a violência da cena é minimizada, se moquer por este sangue que não é um, dado que constituído lantejoula. Há lá, ‘mau gosto que participa de uma estética « campo » que teria investido de outros territórios. As referências à base banda deshena à animação são múltiplos (a lâmpada que elide da sua luz preta em N:O:T:H:I:N:G.) à comédia : em Analytical Study II : Unframed Lines ; um espécime de fita usado tenta em vão passar pelo projetor analítico, o pseudo filme educativos sobre a maneira de limpar-se o cu em Razor Blades. Este humor que se brinca do mau gosto reencontra-se nos ossos ericeis de cores tanto quanto na maior parte dos fluxus objetos : Pair of Silver Shoes covered in Plastic Spiders, Keys…

A textura das cores nos ossos pintados, a justaposição das texturas nos fluxus objetos e as pinturas abstratas seguidamente « expressionistas » dos anos 80, as justaposições cromáticas, para explorá-lo, todo concorre os limites do gosto. As cenas de violência representadas ou mesmo sugeridas reencontram-se no tratamento da fita ele mesmo, tanto pelas arranhados que as queimaduras, os dois podendo ser reunidas em certos casos, ver Anlaytical StudieEpisodic Generation, o 3rd Degree.

Esta violência da qual reencontrará o vestígio numerosas em telas dos anos 80, lê-se tanto nos conteúdos que os tratamentos, mas às vezes para Paul Sharits o uso do flicker é da competência mais do jornal, da ata de uma angústia. Em várias entrevistas, Sharits comunica o projeto de um longo filme de cores puras que « lhe permitiria quase exprimir de maneira cronológico, as sensações por exemplo de solidão.  » Não diz a sua entrevista com Jean- Claude Lebensztejn : « Penso que os piscos são em parte filmes sobre a angústia, sobre a minha angústia. Fora do seu interesse para as realidades da percepção, os limiares de percepção e a possibilidade de criar acordos temporais de cores, são para muitas das projeções de sentimentos internas.  » O reconhecimento desta componente permite recadrer do trabalho de Paul Sharits acrescentando-lhe esta dimensão afetiva que as número leituras não lhe conferiram, demasiada marcada por uma abordagem formal da sua obra. Foi mais difícil seguir o trabalho de Sharits dado que os filmes tornavam-se o reflexo, ou os jornais das suas angústias (Brancusi’ s Sculpture at Tirgu Jiu, Figment, Rapture). A dimensão analítica, teórica está certamente presente no seu trabalho e a maior parte dos filmes dos anos 70, mas não é única, às encomendas. A dimensão autobiográfica nunca não é afastada tanto nos filmes como nas pinturas, a série Positano e Posalo que embora abstratos sejam reflexos da sua vida do momento. No início dos anos 80, esta dimensão tomou a parte nos obras picturais, os assuntos estão unidos aos acontecimentos da sua vida, como o acidente ou ele tirou-se à extremidade que leva num bar de Buffalo. A pergunta da epilepsia é recorrente, tornou-se o assunto de uma instalação e um filme : Epileptic Seizure Comparizon, do qual reencontra-se o vestígio em várias telas de Paul o aos rostos deformados pela cor e o grito da Portrait Series.

Se toma-se em consideração que um filme é um escoamento de uma linha modulada, constituído de elementos distribuídos cintilante então compreende-se melhor a relação que une música e filme de um ponto de vista da composição. Estudando a música durante vários anos o conhecimento de esta permitiu-lhe compor os seus filmes a partir de motivos musicais que são verdadeiros causas desencadearas ; Beethoven e Mahler para Declarative Mode , Mozart para T.O.U.C.H.I.N.G., Bach para N :O :T :H :I :N :G.. Não é tanto a transcrição da melodia que interessa-o que a possibilidade oferecida aos músicos que trabalhem com tais instrumentos. O flicker organiza em acordos de cores as séries de fotogramas de cores puras. A esse respeito, Shutter Interface é exemplar, esta instalação justapõe de acordo com as versões 2 ou 4 projeções que se sobrepõem parcialmente.
Nestas zonas onde as bandas de flicker sobrepõem-se visualiza-se harmônicos e ressonâncias cromáticos, que não são sobre as fitas mas que resultam da periodicidade e de justaposição temporal dos fotogramas de cores puras piscando . Estes acordos de acordo com a sua modulação induzem linhas melódicas para as quais os desenhos modulares tanto quanto as partições de trabalho são elos essenciais. Inscrevem o desenvolvimento de uma proposta, mas têm uma existência por eles mesmos. Numa entrevista , Paul Sharits fala da importância destes trabalhos, que acompanham a produção da obra, e da necessidade de ele de mostrar a obra projetada : o filme e o quadro de película, os desenhos. É mais importante para todos as obras ambientais (locational pieces) duração não definiu, dado que giram em anel, não têm nem início, nem fim. A partição, o desenho, ou o Frozen Filme Frames apresentam-se então como momentos distintos do trabalho mas, não obstante inseparáveis. São ao mesmo tempo momentos da experimentação de um projeto tanto quanto eles alargam o uso do cinema. Os , tanto quanto são a fiel transcrição do filme, a partição. De uma costa, o Frame Studies, que é partições que podem gerar filmes e desenhos, do outro os Studies for Frozen Film Frame
desenhos são preparatórios (ver Score for 3A for Declarative Mode, Analytical Studies IV)
que é tornado exato do filme procedente do Frame Studies . A pergunta do musical é importante dado que é em redor de ela que pode compreender-se ao mesmo tempo as condições de uma abordagem formal tanto quanto o seu abandono nos últimos trabalhos e incluindo projeto sobre o final mazurca de Chopin confirma a importância. Recorda-se -se que para Clement Greenberg, a música é o modelo da arte pura e como tal uma arte abstrata , vários pintores e houve a sua inspiração a fim de fundar uma prática abstract da sua arte. Os numerosos são textos, entrevistas de Paul Sharits, nos quais, a pergunta do som e a música fundamenta a reflexão sobre que é ao mesmo tempo o filme mas também sobre que o filme deveria ser. Não se trata de estabelecer para ele qualquer synesthésie, mas de servir-se mais precisamente dos modelos musicais, e o funcionamento da música encontrando « analogias operacionais entre as matérias de ver e entender. » onde ainda : « Pode-se encontrar um análogo visual à esta característica de um som complexo : » a mistura de um som fundamental com os seus harmônicos « . A música é um paradigma tanto quanto ela talvez a motor synesthésie parcial. Compreender como organizam-se os sons de um acordo, como conectam-se a fim de criar um tecido melódico permite à Paul Sharits propor soluções para um cinema que trabalha em função das unidades elementares da fita. Os racimos piscando de fotogramas de cor pura criam linhas melódicas em função da intensidade das tonalidades, a sua duração e a sua justaposição às cores que precedem-no ou seguem-no. A visão do filme não nos permite apreender uma cor mais que a outra como mostra-nos -o o quadro de película (que serve então de sistema de notação) mas permite-nos apreender melodias, passagens, deslizes, contrações e expansões colareis que se dirigem em função das velocidades mais ou menos marcadas trabalhadas por tal ou tal filme. Sharits declara que tal parte de Declarative Mode é procedente do final da sétimo sinfonia de Beethoven. Tal enunciado não significa tanto quanto o projeto do filme turno sinestesia. Encontra-se que à curtos momentos do filme, o rítmico musical, serviu de modelo para organizar a secção do filme, quite a utilizar a estrutura rítmica de um movimento ou uma parte de um alegro, etc…. é neste sentido que falávamos synesthésie parcial. Quando um filme, uma instalação põe em relatório direto dois telas (o um no outro para o que é de Declarative Mode, Tirgu Jiu, ou contíguos com Razor Blades) é mais fácil apreender um musicalidade entre os dois telas (instrumento) que podem ser em fase, ou defasar antes de reunir-se de novo para produzir uma imagem ou passagens e dissolução de uma imagem no outro.
A dimensão melódica dos flickers filmes é ainda mais palpable que segue em Paul Sharits um desenvolvimento frequentemente programado : o mandala. Visionar N:O:T:H:I:N:G, não nos permite apreender a estrutura simétrica do desenvolvimento, quando bem mesmo sente-se, na segunda metade do filme, uma familiaridade com as linhas rítmicas e chromaticas exploradas. É porque o olho habituou-se mais facilmente e localiza, na experiência da duração, relações cromáticas já propostas ? Aqui é o reconhecimento da organização de uma montagem cromática e a repetição que evocam uma dimensão musical. A apreensão musical é reforçada porque N:O:T:H:I:N:G é geralmente silencioso, como é-o inteiramente Declarative Mode ? Se põe-no -se estes dois filmes perante Ray Gun Vírus que justapõe o som das perfurações flicker coloré projetado, a dimensão corretamente musical apaga-se em proveito de uma experiência visual que privilegia o funcionamento do dispositivo : o desfile de uma fita na frente obturador que induz o pisca e a cabeça de leitura do projetor que lê as informações ópticas que lhe são propostas. Esta dimensão musical é muito mais perceptível nos filmes flicker que nos filmes ou a fita refilmada.
S:TREAM:S:S:ECTION:S:ECTION:S:ECTION:S:S:ECTIONED escape à esta desqualificação. Com efeito não se trata um flicker filme e no entanto o paradigma musical é afirmado fortemente lá. À propósitos deste filme Paul Sharits diz que é : « finalmente chegado a utilizar surimpression de forma a atingir ao mesmo tempo » uma profundidade harmônica « e a possibilidade » contrepoint .Atrasado pedirá ao seu leitor que não tire a conclusão « que a minha intenção primeiro estes em filmes é » a musicalidade . ». A organização do filme é importante dado que mistura pelo menos quatro fontes de informações distintas : planos de rio surimpression (que passa de seis nenhuma, termina 3 vezes), das arranhas (8 blocos de três arranhas os cada quatro minutos a partir do quarto), das palavras repetidas (ao número de seis, e que se sobrepõe os uns aos outro) e bip e collures (a relação entre bip e collures é modular) .

O filme confronta o desfile da fita ao fluxo da água, interroga os desvios que existem entre o registro fotográfico que cria a ilusão de um espaço tridimensional com o espaço físico bidimensional da fita. Os seis planos do rio misturam-se em borbotão de fluxos de informações que nos deixa raramente privilegiar um. Quando permanece mais apenas um fluxo, tem-se a impressão de ver outros, estamos num espaço que é da competência do imaginário : uma construção (tem figment). A primeira palavra repetida termina à maneira de T.O.U.C.H.I.N.G., sobre a qual transplanta-se um aos outro, irriga esta construção. A repetição induz outro vertigem sonoro, outro fluxo do qual seis percebem as diferenças sem, no entanto, estarem a parar-nos, fazem partes do fluxo de informações da experiência. A manifestação de um desvio como fato partida da proposta e reforça-o. Cada bloco de arranhas leva-nos a olhar o quadro diferentemente, tanto quanto as correntes de água, tanto quanto o relatório que une estes dois tipos de informações fotográficos e gráficos. A arranhão afirma tanto a fragilidade do apoio que a sua materialidade, é para aquilo que frequentemente foi afastada pelo cinema de divertimento e mais frequentemente afirmada por aos cineastas de vanguarda. Haveria qualquer arqueologia a elaborar sobre a incorporação da arranhão como elemento visual, que incluiria entre designadamente Len Lye, Adrian Brunel, Stan Brakhage, Isidore Isou, Maurícia Lemaitre, Carolee Schneeman, para limitar-se à alguns nomes. Estas arranhãos que são mesmo o assunto do filme, não afirmam primeira vez a importância do desfile no trabalho de Sharits, são também objetos plásticos importantes quem ligar este filme ao campo das artes plásticas (que pensa-se aos zip de Barnett Newman, ou às incisões Lucio Fontana), tanto quanto mostra a relação existente entre os desenhos modulares, as partições. Estes últimos são realizados através de pontos colorés que representam um fotograma, ou de linhas zigzagantes (quase poderia-se falar de doodles ) mais ou menos que tremem. Num caso, vê-se a partição fotograma por fotograma no outro ele vê-se fondu de uma cor ao outro os cruzamentos simultâneo de informações distintas. Uma coisa salta no entender em S:TREAM:S:S:ECTION:S:ECTION:S:ECTION:S:S:ECTIONED como é o caso com Wintercourse, 3rd Degree ou mesmo em Rapture , é que a qualidade fotográfica importa pouco cineasta. Por qualidade fotográfica é necessário compreender o que é encarado tecnicamente como a norma : uma boa exposição, a clareza, a iluminação… Estes em filmes é trabalhado não é a bonita imagem mas a produção de uma imagem cinematográfica, ou seja uma imagem que está apenas e na projeção, , uma imagem com a qual vai-se induzir do pensamento para, sobre o dispositivo tanto quanto sobre os mecanismos que nos permitem apreender o que é em causa aquando da recepção destas propostas. Reencontra-se aqui que preconizava Duchamp quanto à participação do espectador quanto à constituição da obra. São os processos que estende Sharits em S:S:S:S:S:S que inscrevem a relação no musicais o prédictibilité do aparecimento das arranhas, sem, no entanto, estar a conhecer exatamente o lugar, responde ao aumento das palavras proferidas tanto quanto por inversão simétrica, evoca a diminuição e a retoma das seqüências do rio. O som collures, que não é sincrônico mas defasa de acordo com intervalos digressivos, sublinha ao mesmo tempo implacabilité do sistema empregado por Sharits tanto quanto a possibilidade de demorar-se todas as às formas de no sistema. As arranhas às espessuras variáveis e as cores variáveis desencadeiam paredes das fugas à imagem, ao passar a ser as ondas parcialmente arranhão ou contrariamente, produzem télescopage em na espessura da imagem, entre o fundo e primeiro plano. Uma fusão por retração da ilusão cinematográfica produz-se ao rodeio de uma arranhão, os outros à maneira dos gribouillis de Lye torcem-se e verrumam-se a fim de manter a separação entre a natureza dos dois objetos relativos aos filmes presente à imagem. Cada collure, todas as arranhas desaparecem sobre um fotograma, vê-se apenas uma marca preta centrada à imagem, um começo de flicker é induzido pelo jogo das conexões nos planos de rio. As arranhas e as ondas embutem-se os uns os outros em surpreendente contrepoint do qual emergem os bips e os parasitas das arranhas como ritournelle momentâneo. É porque a lógica do desenvolvimento deste filme é previsível que pode-se explorar estes momentos de tensões específicas nos quais a ilusão da onda das imagens projetadas brinca-se do fluxo das imagens : a fita projetada, o filme atual que é-se entusiasmo ver.
S :TREAM :S :S :ECTION :S :ECTION :S :ECTION :S :S :ECTIONED, informa-nos de desenvolvimento futuro que empreenderá Paul Sharits com os filmes e as instalações que têm por objeto o desfile. Surimpressions dos planos de rio antecipam os deslizes das fitas de Soundstrip, Filmstrip , Color Sound Frames, a série do Analytical Studies, Epidodic Generation ( Episodic Geração)… Estes trabalhos organizam o espaço e interrogam umas outras ilusões ópticas, afasta-se assim das OP-ARTE no qual frequentemente classificou-se uma parte de Paul Sharits. Colour Sound Frames e Episodic Generation mostra como os deslizes de bandas filmes produzem espaços que parecem distorcer o tela.

Está-se na presença de ilusões ópticas que induzem inchações sobre os bordos verticais da tela para a versão simples tela de Episodic Generation. Estes efeitos estão ao horizontais para a instalação porque a projeção é balançada de 90° para a direita. Projetado sob forma de instalação este filme parece alterar o aspecto sólido da parede sobre o qual é projetado. De repente, esta deforma-se em função das velocidades e o muro, este tela, torna-se mais precisamente um espaço curvo ou um espaço ondulante ; mais nada não é fixo, nada não é mais certo que esta ficção que vemos a obra, das quais são os atores.

As instalações reclamam a participação dos espectadores, representam uma etapa importante no desenvolvimento corretamente imersivo do trabalho cinematográfico de Paul Sharits. Paul Sharits encara as suas peças para o museu, a galeria como um prolongamento e uma superação do quadro formato da projecção em sala.
« O filme pode ocupar outros espaços que o da sala de cinema. » Pode ficar « in situ » (antes que de sugerir/representar outras lugares) existindo em espaços dos quais as formas e as escalas da dimensão da imagem e o som são parte e do som são parte integral da peça. Encontrei que esta forma de realização de filme e de mostração, usando mais de um projetor
era para mim cada vez mais relevante e necessário se quisesse atualiza realmente o meu desejo de desenvolver uma análise ontológica precisa dos numerosos mecanismos e dualismos do filme  »

Dizíamos mais cedo que as instalações de Paul Sharits necessitam a participação dos espectadores porque são sobretudo analíticas elas exploram a noção de desfile bem como as condições de recepção da obra. Os espectadores interrogam a produção da peça, o que permite-lhe ser este qual é através de que põe trabalhar. O conteúdo da obra não é ocultado « ele é o seu espécime ». É porque estes ? Obras são abertos, livres de acessos, que duração não predeterminou, que a sua estrutura compositional não responde à critérios de desenvolvimento, e que o seu conteúdo é imediato, que necessitam um compromisso por parte dos espectadores. Como observa-o um espectador da instalação Dream Displacement , a disposição do som em relação à imagem induz um corte no espaço da projecção que convida à deslocação constante, mais ele é distribuído no espaço o que reforço o percurso no espaço. É necessário examinar o espaço da projecção para activar-o. Bem que qualquer seja dado diretamente, é a deslocação que permite apreender o que se trama na peça projetada. Cada peça configura de maneira específica o espaço que ocupa . O formato das imagens, a maneira como inchassem as umas os os outros, reproduzindo frequentemente de maneira horizontal uma fita de filme passando, a sua relação com o som que talvez mais ou menos ambiental : uma paisagem sonora, ou localizada renova e mostra a variedade das intervenções in situ, realizadas por Paul Sharits. Se as primeiras instalações privilegiam o desfile das fitas, lá escapam em parte : 3rd Degree, o outro inteiramente : Epileptic Seizure Comparison. Este último é a única instalação vertical, em o qual ele está ao mesmo tempo dentro e fora da crise de epilepsia. Observa-se a esse respeito que os diversos desenhos que acompanham a produção de 3rd Degree expõe a peça de acordo com dois sentidos quer os três filmes derramam-se sobre a direita, quer sobre a esquerda de acordo com emboîtement escada .

Em Epileptic Seizure Comparison, compartilhamos a crise de duas maneiras, de um lado vê-se e entende-se os gritos dos doentes, do outro entende-se e vê-se uma transcrição sonora das passagens das ondas alfa à teta destes, assim como uma conversão cromática desta mesma crise, o interior. Os dois telas cintilam as crises alternativamente que distribuem num ambiente triangular que faz apenas aumentar a sua intensidade (ilustração).
Epileptic Seizure Comparison reata com o uso dos duplos telas, que foi uma das constantes do trabalho cinematográfico de Paul Sharits. De Razor Blades, passando por Vertical Contiguity, Declarative Mode, Brancusi’ s Scuplture at Tirgu Jiu e Tirgu Jiu.
A multiplicidade das configurações espaciais do duplo tela ele tem permito de encarar relações que podiam ativar virtualidades do filme. . A relação pode trabalhar a simetria, ou o complemento de uma imagem parafuso -à-vis do outro, mas pode também como é o caso com Declarative Modo e Tirgu Jiu, (ilustração) interrogar a aposta abîme, e questionar assim o quadro e as suas cercaduras, tanto quanto as sobreposições de quadro com Tigu Jui que se aparenta assim à Shutter Interface. Certos filmes tornam-se à maneira das numerosas experimentações que constituem-no dos espécimes para outra vez filmes. Epileptic Seizure mas igualmente 3rd Degree confirma a história pessoal de Sharits. A epilepsia sempre foi uma obsessão para Paul Sharits e sobretudo o temor de sê-lo. A destruição, a violência, a ameaça faz de 3rd Degree um estudo sobre a fragilidade e a vulnerabilidade da mulher ameaçada tanto quanto filme que já tinha sido abordado mas de maneira mais formal em Analytical Studies 2 e 4.

A partir de 1982 a produção cinematográfica de Paul Sharits reduz-se na seqüência da tentativa de assassinato da qual foi vítima. Compete mais ferozmente à pintura e expõe mais frequentemente. Os assuntos das suas pinturas são mais abertamente autobiográficos e retorna com certos motivos presentes nos filmes : a arma à fogo em Ray Gun Vírus, reencontra-se em várias pinturas incluindo Infected Pistole um exemplo. O trabalho sobre a matéria pictural é afirmado mais, a cor é esvaziada diretamente do tubo ou através seringue pâtissier. Redes de linhas criam figuras surimpressions (illustration) evocam certos efeitos cinematográficos em que instauram um prazo, um atraso entre ver e perceber. Atualmente, a pintura representa de novo um terreno de experimentações, que o filme não oferece mais. Contudo novas direções são exploradas com o filme entre esta a dimensão do jornal filmado é assumidas plenamente em Brancusi’ s Escultura Ensemble at Tirgu Jiu. Encontrará o seu prolongamento em Figment que privilegia uma forma próxima da crônica episódio (serial), que lhe permita descobrir novas concepções sonoras. Esta pergunta de novo relatório sonoro encontra a sua ilustração no projeto sobre o mazurca de Chopin. Acuando de uma estada na Polônia, cineasta descobre esta partição e decide lançar-se num novo projeto, tenta-se filmando de acordo com os ritmos da música. Envia atrasado algumas semanas a partição aumentada de cor e que vai servir de filme condutor para a produção deste filme.

O que o cinema experimental (Pt)

1 dezembro 2010 12 Festival Internacioal de Curtas Belo Horizonte, Palacio das Artes,

Curso de Introdução ao Cinema Experimenta l(1)

Considerar o cinema como uma prática artística emancipada de todo controle, afirmá-lo desdobrando as particularidades que o médium esconde, compreender e esclarecer a singularidade de atuar que ele permite, examinar as modalidades de fabricação, apresentação e distribuição dos filmes – aqui encontramos algumas das particularidades que caracterizam este espaço artístico conhecido como cinema experimental. Tal prática responde de maneira crítica ao cinema dominante, tanto pelas formas como pelos conteúdos, pelos meios de produção e as condições de exposição (distribuição e espaços de exibição). Assim definido, o cinema experimental é um cinema que abole as regras e normas do discurso cinematográfico clássico : é este o seu caráter transgressivo ou subversivo, se preferirmos o termo pelo qual optou Amos Vogel (1921), o extraordinário fundador-líder em New York do ’Cinema 16’ (1947), antecessor do « Cineastas Coop. » (1962), que antecipou, ele mesmo, o agora famoso Anthology Film Archives « (1970), ambos fundados pelo cineasta-ativista Jonas Mekas (1922)). No entanto, tal prática, encontra-se marginalizada no domínio da produção de imagens em movimento, é hoje uma forma forçada de invisibilidade. Muitas vezes, certamente, reconheçe-lhe-se uma relevância histórica, mas é então para despojar melhor as suas produções contemporâneas, as quais não parecem frequentemente corresponder ao discurso crítico do momento. O cinema experimental contemporâneo partilha com outras formas de arte viva, a particularidade de “ ilustrar-se pela sua ausência « , claramente um problema nas redes de difusão que detêm hoje o consenso estético. Como tal, ele deve se (re)definir constantemente. Por isso, é também, cada vez, simultaneamente combate e resposta. Em conseqüência, ’fazer’ cinema experimental, é reconhecer a vitalidade de uma prática menor e lhe oferecer o acolhimento de um desejo que a amplia e renova a possibilidade. Entende-se, para toda a área do cinema, a necessidade de um filme que herde explicitamente do movimento específico das vanguardas , conforme o desejo, formulado nos anos trinta, por Len Lye (1901-80) e Moholy-Laszlo Nagy (1895-1946). Fazer cinema experimental , é ser o agente desse cinema. E ser cineasta em tal campo é encontrar constantemente formas de gerar estratégias de resistência, para evitar a sua aniquilação. É também inventar as condições de uma partilha pública, diferente a cada vez, qualquer que seja a forma. Fazer cinema experimental é finalmente refletir, ao mesmo tempo, sobre uma história subavaliada, mas também, interrogar as formas desnarrativas (isto é, que rompem com os padrões históricos de narração no cinema) de um suporte linear : o filme.
Eu apresentarei aqui a performance de Hollis Frampton : uma conferência

Este espaço cinematográfico específico desenvolveu-se principalmente na América do Norte nos anos 60 e, como marcou tão bem Annette Michelson (crítica e co-fundadora da revista de October, e que nos anos 60, abriu espaço ao cinema experimental na prestígiosa revista Artforum), « A produção de cinema independente nos Estados Unidos se centra na idéia de transgressão, duplamente definida como uma celebração do erótico e a produção (antes restrita) de filmes fora do sistema industrial. » Entretanto, existe fundamento encontrar suas premissas a partir do cinema surrealista (bem como os seus seguidores), ou seja, neste cinema que fomentou a « derrota » da narrativa linear e cronológica, prejudicando ao mesmo tempo o acordo tácito entre o narração e personagem. Detecta-se a mesma coisa nos filmes Letristas de Isidore Isou (1925-2007) e Maurice Lemaitre (1926) e nos filmes situacionistas de Gil Wolman (1929-95) e Guy Debord (1931-94). Trabalhando com outros registros cinematográficos, todos os seus filmes não têm tanto por característica a forma da narrativa (que, foi pelo menos pervertida, encontrou-se, ao mesmo tempo a presa designada da crítica tradicional), mas o questionamento das formas de apresentação deste objeto que é o cinema, em seu uso industrial. Trata-se, portanto, de interrogar “a sessão”, bem como a configuração da relação induzida pelo espaço físico que é a sala, ou ainda as modalidades da gravação do suporte. Note-se que essa crítica é contemporânea dos happenings, e prenuncia o surgimento do expanded cinema (ou « cinema expandido », que incorpora a atualidade de uma performance durante a projeção – essa apresentação pode recorrer as múltiplas telas, ou as outras disciplinas artísticas), em seu questionamento dos elementos da projeção. No entanto, esses diferentes momentos do cinema experimental não são puramente político e militante : frequentemente eles prestar muita atenção ao trabalho da forma cinematográfica, explorando ou expondo zonas confidenciais, pois deriva em áreas urbanas sem objeto (como lotes de terrenos vagos).

O filme experimental têm um outro aspecto, transversal e recorrente : um interesse constantemente afirmado pelos corpos e suas capacidades muitas vezes impossíveis de antecipar. Isso traduziu-se primeiro, nos anos 1920, por um grande interesse na mecânica do corpo. O corpo-máquina se exibindo então já na tela, através da fragmentação e a redução dos corpos à alguns movimentos repetitivos. Elaborando assim um paralelo entre corpo e máquina, os exemplos mais marcantes do gênero continuam a ser o Ballet Mécanique (1924) , de Fernand Léger (1881-1955) & Dudley Murphy (1897-1968), e Impacience de Charles Dekeukelaire (1905-71). Encontra-se nos filmes de Ed Emschwiller (1925-90), este fascínio pela “maquinaria” corporal, mas apreendida segundo outras modalidades estéticas e ideológicas : saída do corpo-máquina, em favor de uma cosmogonia que só a imagem do corpo parecia-lhe capaz de invocar.
Mas este dinamismo encarnado, dispositivo bem lubrificado,, eficiente, e cuja finalidade é precisamente a fábrica de corpos mecânicos (The birth of a Robot, 1938, Len Lye), não é em nada idêntico aos que apresentam os filmes de Kurt Kren (1929-97) e Otto Mühl (1925), relativas às performances dos acionistas de Viena. E quanto às questões suscitadas pela representação da sexualidade, ela será, cada vez diferentente, o fato de cineastas como Stan Brakhage (1933-2003) e Carolee Schneemann (1939, na qual será uma tematização explícita e direta, autobiográfica), Taka Iimura (1937) ( a quem sera consagrada uma retrospectiva Galerie du Jeu de Paume em maio proximo), ou Alfredo Leonardi (1938, mais indireto, desviado). Mais perto de nós, com Kurt McDowell (1945-1987), Barbara Hammer (1939) , Jan Oxenberg (1930) ou Hiroyuki Oki (1964), podemos ver uma problematização explícita das questões relacionadas com a representação / visibilidade da sexualidade gay (segundo perspectivas de abordagem necessariamente plurais).
No entanto, o que todos têm em comum é, como se vê, o trabalho de lidar o corpo com a questão da representação e examinar os seus termos, uma vez que afeta os corpos. E o que se resulta é a aposta na crise deliberada destas noções sempre espinhosas que são o « público », o »privado », o’intimo… Ao fazer isso, todos trabalham o que é possível mostrar : nascimento, prazer, gozo, saúde, movimento, dor, morte, decomposição. Assim, nota-se que eles enfrentam, são sempre as lógicas ou as conduções tradicionais de representações, necessariamente mais organizadas.

Pela própria escolha do tema, e neste caso as representações da sexualidade dominam : o homo-erotismo em Jean Genet (1910-86), Kenneth Anger (1932), Gregory Markopoulos (1928-92), Andy Warhol (1928-87 ), Derek Jarman (1942-94), Lionel Soukaz (1953) ; afirmação de suas sexualidade s de mulheres com Carolee Schneemann (1939), Valie Export (1940), Bárbara Rubin (1945-80), Barbara Hammer (1939). Para outros ainda, é a possibilidade de mostrar uma sexualidade onde encontra-se imediatamente problématizada, ou mesmo evacuada, a norma imperativa do orgasmo (« Divirta-se ! »). Pois, assim como o desafio da reprodução (da « espécie ») é o culto dedicado ao corpo eficiente (até no erotismo e suas várias representações cinematográficas) que se encontra aqui radicalmente perturbado, ou melhor, deslocado – tanto por um Jack Smith (1932-89) como José Rodriguez Soltero (1943-2009). Não é de estranhar, portanto, que este tipo de percurso terminou por desentupir sobre uma tematização explícita das noções de « gênero » (gender), como um atributo triplo (e tripla atribuição) : social, histórica e cultural. É esta tematização que identificamos por exemplo, em alguns filmes Matthias Müller (1961), ou Mike Hoolboom (1959) ou Wayne Yung (1971)

Para outros, a câmera se torna uma prolongamento do corpo, como sua possível extensão. Os cineastas nãofazem então grande caso da fixidez do enquadramento, e os movidos são integrados. A fidelidade ou a conformidade da representação à coisa filmada não é então mais uma prioridade, o que é tanto visado, é sobretudo a imediatez e a espontaneidade da reação em relação ao que é filmado. Esta indiferença frente a técnica põe em discussão o primado da imagem sob controle, mais ou menos estéreis. O ato da filmagem como apropriação da representação efectua-se então através de uma afirmação das possibilidades que oferece ao mesmo tempo o domínio do instrumento-câmara e deste suporte que é a fita. Submetida a tais tratamentos, é a relação subjetiva à coisa filmada que domina : Apresentação da ’visão’(no sentido Inglês), singular, do cineasta. Historicamente, tal postura é encontrada primeiramente em Marie Menken (1909-71) através de seus desenhos e jornais filmados, que privilegiam todos uma grande liberdade de movimento de câmera, tanto quanto a espontaneidade da tomada de vista. Daí procede o que poderia ser chamado de economia do acidente, que não é sem entrar em ressonância com o percurso ademais diferente de um John Cage (1912-92). Na verdade, ela é uma das primeiras cineastas que trabalham a câmera tida na mão, liberta do seu tripé, muitas vezes abandonando o trabalho de montagem (para o benefício de uma qualidade de leveza, característica da montagem direta na câmara). Lembramos que a câmara “portada” igualmente permitiu a realização de belas seqüências de o Homem da câmara (1929) de Dziga Vertov (1896-1954), assim como, na admirável viagem efectuada por Oskar Fischinger (1900-67) através da Alemanha em Munique Berlim Wanderung (1927). Mas com Marie Menken (e os cineastas do final dos anos cinqüenta), a câmara torna-se independente, e facilita o surgimento de um método em que a prioridade imediata é atribuída à tradução de uma disposição sensível.

Esta liberdade, conquistada como se vê, encontra-se aumentada para Stan Brakhage, em seu « cinema visionário ». Seus filmes, de carater intimista, paradoxalmente, também assumem dimensões quase mitológicas. Window Water Baby Moving (1959) Dog Star Man (1961-64), bem como nas Canções (1964-69), faz desabrochar sobre a superfície da tela visões hipnagógicas e outras percepções ópticas internas, convencionalmente ocultadas, ou mesmo banídas pela cinematografia clássica. O suporte destes objetivos é então o filme doméstico, « amador », por assim dizer : home cinema. Privilegiando o borrão, trata-se de jogar com oposições cromáticas intensas, confrontando ao mesmo tempo as texturas : o grão da emulsão com planos de tintas coloridos ou as estrias, a qualidade das diferentes emulsões, o uso de imagens negativas, etc. Carolee Schneemann por sua parte, em Fuses (1964-67) ou Plumbline (1968-72), produz tratamentos gráficos que são semelhantes aos descritos anteriormente, mas para aplicá-los à suas seqüências de jornais íntimos. Encontramos de forma semelhante, nos jornais filmados por Jonas Mekas, esta libertação em relação a exposição « correta ». Porque o que conta nele é ao mesmo tempio a dimensão afetiva e o estado no qual se encontra no momento em que filma – quer se trate de produzir um plano de curta duração, ou uma seqüência de vários minutos. Em todos estes cineastas, a filmagem não responde à uma economia da rentabilidade, ela torna-se momento de “revelação de um sujeito” através das imagens que este regista. Esta descoberta será ainda mais eficaz do que ela é, tanto nele como em Jack Chambers (1931-78), acompanhada de um trabalho sobre as lembranças e a formação de uma memória subjetiva, quem procura assim inscrever-se no fluxo da história. em Lost, Lost, Lost (1949-76) ou Reminiscences of Journey to Lithuania (1971-72) por exemplo, são as lembranças ligadas à comunidade lituana de Nova Iorque que conduzem Mekas a se perguntar de seu pertencimento a um território, um país. Neste filme, ele confronta o seu deslocamento forçado (e, conseqüentemente, seu não-pertencimento efetivo a um país) à forte aderência que um Peter Kubelka (1934) assume em relação à Áustria. Jonas Mekas, ele, não se aparenta nem saberia pertencer à nada ; exemplarmente, ele assume o caráter inegável da sua situação de exilado – cineasta
cineasta que persegue de filme em filme os ecos de um país distante e uma infância perdida (cuja procura influenciará sobre a percepção de Nova Iorque da qual seus filmes testemunham ao fio do tempo).

Esta maneira de encarar o cinema como processo de implementação de subjetivação permitiu a realização de um grande número de filmes, e especialmente quando eles usam o pequeno formato como o « 8 milímetros » e « Super 8 ». A facilidade, a maneabilidade e a extrema flexibilidade do instrumento são exemplares desse modo de filmar todos os aspectos do cotidiano, até nos seus encontros mais imprevisíveis. É por exemplo isso de que soube tirar proveito, e magnificamente, um Teo Hernandez (1939-94). Mas estas mesmas qualidades também facilitaram em certo sentido o reconhecimento de um campo específico de investigação : a de uma reavaliação do « íntimo ». E é a partir da exploração da riqueza irredutível inerente às imagens ditas « de caráter privado » (tornados documentos visuais desde o advento da fotografia) que tal trabalho não deixou de comprometer-se.
Essa irrupção do íntimo como questão trabalhada, vale lembrar aqui que só recentemente ela se tornou prerrogativa do Cinema (com letra maiúscula, industrial pois), como do vídeo contemporâneo. No entanto, o que acabou sendo marcado sob a forma de dominação do íntimo como “objeto dardo « (Duchamp), tem a sua fonte (que é muitas vezes ignorado) nos trabalhos realizados durante o 1960-1970 por alguns artistas- performers. Aqui é o nome de Vito Acconci (1940) que, sem dúvida, vem em primeiro lugar entre os que o conceito de ritual foi constitutivo da ação, ela mesma produzida para registro. É então sobre suas rotas que se inscrevem filmes de Gina Pane (1939-90), Christian Boltanski (1944) Michel Journiac (1943-94), e de uma grande parte da « escola do corpo » , francesa, anos 70 (da qual Dominique Noguez tem sido a voz teórica por muitos anos).

Estes filmes-performances se diferem marcadamente de uma outra corrente decisiva do cinema experimental, o que lhe permitiu superar inclusive a noção de personagem (entendido como apoio psicológico da narrativa). E esse distanciamento deliberado efetuou-se em beneficio da única atividade do ator. Trata-se então de afirmar o papel de um performer, criando eventos, encontros, para a câmara (pensamos aqui, mas muito diferente em relação aos termos, nos filmes-performances de Bruce Nauman, Gordon Matta-Clark e Richard Serra). Mas esses atores no asumen então mais un papel : eles são o papel. E a questão não consiste mais em saber se são « boas » ou não. O que está em jogo, é este acontecimento do qual são ao mesmo tempo agentes e consequência : situações diárias e domésticas ;
situações que misturam mundos até então separados (inocência, droga, sedução, travestismo, queer, sexo, boêmia…). Situações que visam abolir a fronteira entre o « mundo da arte » e o da « vida ». Esta crítica da separação pela anexação do pessoal, e seu rebatimento no campo estético-político (dos mundos e das representações) pode ser encontrada tanto na produção feminista dos anos 70 (Adrian Piper (1948), Jan Oxenberg) como em certas trajectórias da arte contemporânea. Os dois instigadores de tal inversão de prioridades entre “autor” e “intérprete” ao cinema foram, sem dúvida, Taylor Mead (The Queen ofSheeba Meet The Atom Man (1963), Tarzan e Jane Regain sort of. .. (1963) Che (1968)) e Jack Smith (Camp (1965), Blonde Cobra (1959-1961)). Estes atores são para o cinema o que os happenings são para a pintura : uma terceira via. Diretos, crus, eles também são mais severos no uso que eles fazem deles mesmos – sábia dosagem feita de amadorismo fingido e do domínio perverso de seus meios. Não poderíamos aqui muito agradecer a esses recursos, pois se mantiveram a marca de suas trajetórias extraordinárias. Mestres incontestáveis da confusão de gêneros, eles não pararam de prejudicar a imagem do homem vencedor. Fazendo da ambigüidade uma arma perigosa, é um humor cáustico (da anfetaminas, mais exatamente) que alimentou indefinidamente cada uma das suas intervenções na tela – quebrando a linearidade de uma drama turgia pré-fabricados deliberadamente. Esta quebrada de narração se encontra nos filmes Hitler 3° Mundo de José Agrippino de Paula, e menos pronuciadamente nos filmes de Yvan Cardoso…
Acrescentamos aqui que é precisamente a capacidade inconcebível de tais personagens para apropriar-se de um filme (ou uma peça) que justifica-se o uso de stars de todos os matizes, improvaveis ou não, no cinema Warholiano.
Trata-se então de autorizar tacitamente cada um a tirar a (cobertura à ele ?),
de acordo com regras estabelecidas e logo minadas pelo próprio Warhol, a fim de permitir o surgimento de uma alteridade na imagem composta (Sreen Tests de 1963-1965, Henry Geldzahler 1964, Lonesome Cowboys, 1968).

Através da documentação de suas vidas, cineastas como Andrew Noren (1943), Saul Levine, Ming Yu Lee (1980), Joseph Morder (1949) ou Charlotte Anne Roberson (1949), à sua maneira igualmente puseram-se questões de cinema. Cada um a seu modo, eles investiram no campo da narrativa, através da restituição dos acontecimentos do quotidiano. Onde encontramos o surgimento da intimidade como assunto de um filme, e onde constata-se de novo que se trata de um espaço de questionamento em obra. Qualquer um que procure entender o que motiva a freqüência da representação da homossexualidade (masculina ou feminina) no cinema experimental não podera fazer economia deste desvio (eo mesmo vale para as questões das identidades e das minorias). Pensa-se naturalmente aqui em Jerry Tartaglia (1950), Friedrich Su (1954), Benning saddie (1973), Bordowitz Gregg (1962), Pratibha Parmar (1955), Trinh Minh-ha (1952), Lizzie Borden (1951), Isaac Julien (1960), Birgit Hein (1942) e Richard Fung (1954) …

Se definíssemos diferentemente o cinema experimental, então surgiria outro corpus, outras metodologias na abordagem da ferramenta, que beneficiaria a análise dos meios e dos elementos constitutivos do aparelho. Isso não significa que as abordagens divergentes não se cruzem nem se alimentem , muito longe disso. Simplesmente parece-me que o enfoque histórico deste corpus permite delimitar mais facilmente linhas de força, de onde podemos libertar as categorias ou « tipos » de filmes. Desta abordagem mais analítica, emergem naturalmente a maior parte das figuras das vanguardas históricas, aquelas dos anos 20 e 30, tanto quanto as dos anos 60-70. Breve exame.
Se a primeira vangarda questionava a possibilidade de construir um « cinema puro », um « cinema integral », emprestando seus conceitos e ferramentas para analisar a música ea pintura abstrata, não é mais o caso para a dos anos 60, que questionou todos os elementos constitutivos do filme : da projeção à distribuição, passando pela apresentação.
Trata-se pois para os artistas dos anos 20, que participam do modernismo, de constituir uma nova linguagem de acordo com modalidades que emprestam os seus esquemas para a compreensão da abstração, sobre o modelo do discurso musical e da pintura não-objetiva, da poesia ou do maquinismo. Esta elaboração passa pela afirmação de algumas qualidades relativas à este médium e o que o distingue de outras suportes.
Os cineastas e artistas dos anos 20 cuidaram de elaborar novas possibilidades perceptivas. Entre elas, selecionamos aquelas que dizem respeito à questão de luz e ritmo. Devemos ter em mente a célebre conferência de Hollis Frampton (1936-1984), intitulada Uma Conferência (1968), pela qual se liberou « da luz qualificada » que o cinema é inicialmente, lembremos o seu exemplo a respeito da filme como fita, cujo assunto “pode às vezes ser Lana Turner” e que, “à tal momento, mostrou-se sensível à luz”. Agora, conservando um vestígio fiel dos lugares onde havia, ou não, da luz, ele modula o nosso raio luminoso, opera subtrações, há um vazio, o qual toma para nós a aparência, por exemplo, de Lana Turner « …

Para alguns cineastas, tais Viking Eggeling (1880-1925), Hans Richter (1888-1976), Walter Ruttman (1887-1941), Oskar Fischinger e Len Lye, a questão do deslocamento e da circulação de formas no espaço do quadro é concomitante àquela de suas transformações. Essas transformações convocam soluções musicais a partir das quais nós fazemos evoluír formas no tempo, dentro de um conjunto de variações, horários e padrões ou temas cruzados.
A utilização de conceitos musicais facilita o desenvolvimento filmes que trabalham relações sinestésicas. Elaboram-se assim das obras que trabalham o deslocamento de formas orgânicas, em função de linhas mélodiques (como seria uma pintura no tempo de Walther Ruttmann, ou por meio de formas geométricas, de acordo com uma rítmica e uma composição contrapunctique precisa com Viking Eggeling e Hans Richter). Tais abordagens privilegiam as noções de velocidade e de síncope, a fim de estabelecer os elementos de uma linguagem específica. Nós encontramos o mesmo controle tocando a qualidade de abordagem sinestésica nos Estudos (1929-1934) em preto e branco de Oskar Fischinger, quem vêem evoluir arcos e linhas, transpostas cinematograficamente. Estas investigações visam evidentemente a constituir o cinema como prática artística autónoma, de acordo com o desejo modernista, emancipado dos imperativos de dramaturgia e de encenação herdados do teatro clássico ou do referente literário, em prol de uma afirmação da visualidade. Quanto ao campo musical e usar seus recursos, eles constituirão na história do cinema experimentais um dos motores mais férteis, propício à criação de obras singulares.

A criação de tal arte, que se quer « absoluta », encontra-se em cineastas que, como Wagner ou Kandinsky, promovem uma espiritualidade da prática artística,
concebendo a obra como etapa desta elevação para um “outro lugar”, desejado como ninguém “aqui” (James Whitney, 1921-82 , Jordan Belson, 1926, ou em um Harry Smith,1923-91).
A defesa deste “cinema absoluto” explica a maior parte das pesquisas teóricas destinadas a estabelecer o cinema de vanguarda como o único “verdadeiro” cinema.
O estabelecimento de tal programa destinado a constituir uma nova arte de ver. Assim à questão do modernismo e da apologia do maquinismo em Eugène Deslaw (1900-93) ou Dziga Vertov, substitui-se uma corrente mais fotográfica, mas quase pictórica, impressionista, que favorece a emergência de um cinema poético (Paul Strand, 1890-1976, Germaine Dulac, 1882-1942). É este cinema que apagará a voz de um registo mais realista, proximos dos documentários, e fortemente influenciados pela escola russa (Eisenstein, Vertov, Poudovkine e Schub). Pensamos, naturalmente, em Joris Ivens (1898-1989) e Laszlo Moholy-Nagy (1895-1946), mas também em Erno Mezner (1892-1942), Jean Vigo (1905-34) et John Grierson (1898-1972). Este cinema, não lhe exclui em nada uma relação ao espaço literário. Ele incorpora alguns elementos : fazendo da palavra um sinal, uma imagem (em Léger e Vertov), mas também jogando com o fora-de-campo que implica a presença da palavra na tela (Man Ray, 1890-1976) Marcel Duchamp (1887-1968 ))… Estas investigações estimuladas pela efervescência e trépidation da época esclarecem novos territórios que serão reexaminados nos anos 60. A presença da letra, da palavra será constante neste cinema depois dos anos 20 (quer se trate de Joseph Cornell 1903-72, de Bruce Conner 1933, Maurice Lemaitre, ou Hollis Frampton, de Michael Snow, Peter Rose1947, Yvonne Rainer 1934, Paul Sharits (1943-93), Joyce Wieland 1931-96, ou Jennifer Burford 1952). A inclusão da letra no espaço cinematográfico abre o campo a um uso heterogêneo, que encontra-se no recurso trans-histórico ao found footage. O cinema de found footage é também um gênero em si : o cinema de prélévements, de recuperações que, radicalmente, faz a economia da filmagem e afirma somente a edição como o momento de elaboração (Esfir Schub, Bruce Conner, David Rimmer, Al Razutis, Artur Omar, no Brasil, etc. ..).

Inicialmente, são as questões da luz que predominam e que nos permitem escrever esta outra história do cinema, história que teria por objeto não tanto as relações com o fotográfico como com o cromatismo. Contudo constata-se nestes em filmes uma predominância das relações entre as texturas, o reflexo das matérias (como por exemplo nos filmes de Nathaniel Dorsky, 1943). Estes filmes de cores parecem assim prefigurar um cinema que não relevaria mais da montagem. Então é um processo que, articulando a materialidade do suporte, procura livrar-se da questão da imagem como um reflexo de uma realidade externa a si mesma. Consideremos, então, um cinema que trabalha a dissolução, a perda, dos quais Jurgen Reble (1956), David Sherman (1966) e Cecile Fontaine (1957) Lee Hangjun, Carl Brown (1959) estão entre os representantes mais destacados contemporâneos. Mas ainda existem outras maneiras de impressionar o suporte, por rayograms : raspagens e aplicação direta de cores, marcações sobre a película (era o que concebiam e exploravam Man Ray, Len Lye, Norman McLaren (1914 -87), Dieter Roth (1930-98), Hy Hirsh (1911-1961), Maurice Lemaitre e outros). Estas técnicas diretas são frequentemente utilizadas, bem como a imagem fotografica e são entremeadas com elas para gerar comentários, por adições ou por subtrações usando rotoscopia (Robert Breer, 1926). Elas podem também se perguntar sobre as maneiras possíveis de desdobrar uma arte da luz. (entendido como médium temporal), trabalhando portanto a luz como questão : interrogando o transporte da imagem, ou variando as modalidades da própria projeção.
E esta consideração do fenómeno da projeção beneficia os trabalhos multi telas bem como instalações de cinema que (re) colocam em questão a pertinência da sessão, tanto quanto a sala de cinema como um espaço de pura frontalidade (Linha Descrevendo um Cone, 1973 Anthony McCall). Essas questões abordadas radicalmente nos anos 70 por cineastas como Paul Sharits, Malcolm LeGrice (1940), Ken Jacobs (1933), estão novamente reconsideradas hoje pelas novas gerações que interrogam a natureza do fenômeno de exposição, através da produção de performances cinematograficas (live cinema) (Metamkine, Jurgen Reble, Peggy Ahwesh) ou instalações (yann beauvais, Keith Sanborn ,Thomas Köner). O que importa é a constituição de um fenômeno cinematográfico que analisa o objeto cinema. É a partir de tais questões que os cineastas examinarão o que é, tanto do suporte como da projecção.

Esta abordagem rigorosa nas questões endereçadas ao objeto cinematográfico não é evocar aquelas que colocam os trabalhos (radicalmente diferentes), realizados por muitos artistas e cineastas na área de cinema expandido. De fato, quando os artistas procuram abrir as práticas multiplicando as linhas de fugas e os cruzamentos, eles questionam a natureza da projeção, não tanto como suporte de gravação, mas bem como, suporte de distribuição.
Esta revisão do suporte levou os cineastas a trabalharem os fotogramas, os movimentos dos dispositivos e a própria tela. Determinar o que acontece quando você coloca à prova a cada elemento isolado vindo a estabelecer as condições de possibilidades da experiência cinematográfica em si. Produzir uma realidade cinematografica , é abordar o cinema a partir daquilo que ele pode produzir no momento que é para ser visto. Esta realidade cinematografica, a qualquer momento, não pode ria ser cpreendida fora da experiência da projeção do filme, é o que se revela nos filmes que trabalham a serialização photogrammique (distribuição em ciclos mais ou menos complexos a partir do tecido de fotogragramas ou de seqüências inteiras). Incluem-se aqui Nekes Werner (1944), Rose Lowder (1941) e Takashi Ito (1956), Jean Michel Bouhours, para citar alguns.

Hoje, o cinema experimental não é mais dependente do suporte de distribuição : a pelicula, a sala. Estas preocupações são comuns a muitos artistas contemporâneos que, através do seu trabalho, fazem propostas que questionam os usos do tempo, às vezes impondo uma atemporalidade ao menos encorajadora. Assim, a manifestação dos processos, retardado devido à própria natureza do médium (desvio entre a filmagens, o desenvolvimento, tratamentos secundarios…), encontra-se hoje reintegrado pelos protagonistas do « cinema ambiental ». Estes compartilham com as pratiques musicais contemporâneas (techno, electro-acusmática …) modalidades de intervenções e de registros semelhantes, favorecendo, ao mesmo tempo, uma nova abordagem do cinema experimental, esta arte do movimento.

O uso contemporâneo dos filmes de found footage (Pt)

3 dezembro 2010 12 Festival internacional de Curtas Belo Horizonte, Palacio das Artes

Curso de Introdução ao Cinema Experimental (3)

Apropriação não é uma coisa nova no mundo da arte, a freqüência do seu uso denota sua atualidade. Este uso que quer que se retome uma idéia, um som, uma melodia, um motivo, um tema para lhes desenvolver novamente, trabalha os processo, os tratamentos criando as vezes grandes desvios que é impossível encontrar as origens dos documentos iniciais. Apropriação como gesto artístico tomou uma dimensão que corresponde na multiplicação dos suportes da reproduções mecânicas, magnéticas e numéricas.
O século vinte não tem o monopólio da apropriação como postura artística, mas o fez um uso predominante, que manifesta a sua democratização. O acesso e a circulação dos usos interrogam as redes da difusão, assim como a(s) noção(es) do autor.
O filme de found footage manifesta no campo cinematográfico e mais precisamente no cinema experimental e vídeo cujos usos e através dos quais apropriações e desvios dos objetos encontrados beneficio da reciclagem de pedaços de filmes. Quando se trata de found footage, a gente deve entender simultaneamente : os pedaços, os objetos encontrados assim como um gênero protéiforme : filmes de arquivos, compilações, filmes de montagem…

O recurso a os found footage existem desde o inicio do cinema. Encontramos os traços nos primeiros espetáculos cinematográficos nas quais os feirantes misturavam novos filmes com outros já mostrado em programações anteriores . Porem a reutilização das seqüências por os cineastas diferentes daqueles fizeram os filmes, verdadeiramente generalizou se nos anos 1910 1920 com o usos aos stock-shots (catalogo de seqüências postas a disposição pelos distribuidores ). A pesar do cinema de vanguardia gostar muito destes tipos de apropriações e desvios que o surrealismo preconizava, é so nos anos 50 e 60 que este uso largamente espalhou de acordo com as estéticas letristas e situacionistas, os ensamblagistas e da pop art. Se nos Estados Unidos, Bruce Conner é a figura que fundou este gênero , a sua influencia foi mas tardia na Europa onde outros cineastas tinham trabalhado neste gênero antecipando seu trabalho como Maurice Lemaître citando um clássico do cinema em : Le film est déjà commencé ? (1951), ou ignorando o como Gianfranco Baruchello e Alberto Griffi desviando filmes norte americanos dos anos 50 e 60 com La verifica incerta (1964-65).
Para estes artistas que importava não era a citação mas sim a possibilidade de incluir parte da historia do cinema como fizeram Maurice Lemaître e Guy Debord, trabalhando com as imagens dos meios de comunicação dominante ou seja os filmes comerciais, os filmes educativos e as noticias. Estas apropriações assina a possibilidade que o cinema tem de produzir uma metalinguagem cujas as Histoire(s) du cinéma são um exemplo tardio, e que o Ken Jacobs inaugurei com talento com Tom Tom The Piper’s Son (1969-71). Neste filme, Ken Jacobs revisita um curto metragem de Billy Bitzer de 1905 que ilustrava uma canção infantil na qual Tom rouba um porco, foge-se antes que se come o porco, e que o menino levou uma surra grita nas ruas . O cineasta analisa o funcionamento deste filme a partir de um grande numero de variações que decompõem, isolam, acelerando ou retardando o fluxo das imagens originais. Com cada visão que duplica o trabalho do cineasta, nos descobrimos as potencialidades especificas das imagens em movimento quem emprestam na pintura para a composição das cenas tanto quanto a arte do movimento que produzi a continuidade a partir do descontínuo e do piscal. Encontraremos outra atitude para auscultar a historia do cinema a través o cinema primitivo ; em Visual Essays : Origins of Film 1973-84 AL Razutis questionava diferentes filmes e cineastas para entender filmicamente o que lhes trazem o cinema. (aqui se mostra um trecho desse filme a parte Lumière’s Train (arriving at the station (1980) que annexa os filmes de Lumière O trem chegando na estacione La Ciotat, A roda do Abel Gance, e Spills for Thrills courto americano da Warner Brother).

Este filme é o resultado de uma metahistória, parece-lhe realizar a descrição que Hollis Frampton fez do filme : O filme conta uma infinidade de passeios sem fim nos quais nenhum fotograma não se assemelha de nenhuma maneira, e uma infinidade de passeios onde os fotogramas sucessivos são também idênticos que concebível .
Esta similaridade do fotograma pode explicar o uso da reutilização simples na qual nenhuma modificação foz feita no objeto encontrado que consista na modificação do contexto é a destino da recepção do filme (filme, vídeo, fluxo). Estas estratégias parecem próximas do ready-made do Duchamp ; mais em sua versão assistida. O deslocamento não marca só um desvio , mas ele permite observar os usos e as significações dos objetos e representações dos quais não estamos atentivos. Estas são praticas que se encontram muito nos filmes de arquivos e nos documentários.
Outros artistas pensam no reemprego, na reciclagem dos filmes, dos trailers como uma atividade que permite privilegiar o montagem e autoriza “ fazer surgir coisas ausentes da intenção inicial. Os exemplos não faltam sobre a maneira de alterar o sentido mudando o contexto” . O filme A Movie do Bruce Conner é a reposta do cineasta ao desejo de interromper um filme comercial anexando lhe uma seqüência encontrada numa casa quando ele estava 13 anos de idade ; em qual uma mulher tirava as meias . Em seus ajuntamentos Bruce Conner uso todos tipos de materiais, lixos que ele gostava como fiz Jackson Pollock transformando as suas telas em espaço sujo . Esta mesma relação pessoal nos objetos encontrados preside as escolhas das seqüências que compõem seus filmes de found footage. Se encontra com Chick Strand e Abigail Child uma atitude parecida. “ Em Prefaces, eu queria solicitar as imagens encontradas como recursos, como um dicionário, eu queria destruir nosso banco de dados, quebrando o banco de imagens a fim de redistribuir, reestruturar um campo de impulsão a partir do qual o ato de permutar constitua a troca. A estrutura e densidade, um mosaico .”
A prática do filme de found footage provoca a constituição de coleção, e o recurso nos bancos de dados cujos certos elementos vão talvez incitar novos projetos. Os filmes de Matthias Mueller e Christoph Girardet participam de uma reciclagem temático : as estrelas em Homes Stories (1991)de Matthias Mueller e também em Encuentros entre dos Reinas (1991) de Cecilia Barriga quem evoca uma encontro entre doas estrelas do cinema , um objeto em Telephone (1995), tiros em Crossfire (2007) de Christian Marclay). Só o reciclagem do cinema no sentido expandido este tornado o objeto privilegiado dos cineastas, os amostrados contemporâneos, não se limite a isto. A historia do cinema e de seus clássicos se torna como o território o mais frequentemente amostrado para os artistas da media contemporâneos. Si nos se limitamos ao Alfred Hitchcock a lista é grande : Stan Douglas (Subject To a Film : Marnie 1995), Douglas Gordon (24 Hour Psycho 1993), Les Leveque (2 Spellbound 1999, 4 Vertigo, 2000) nos mostraremos trechos dos dois filmes), Matthias Müller & Christoph Girardet (Phoenix Tapes, 1999) Ichiro Sueka (Seagulls are screaming, « kiss her, kiss hier 1998) para citar alguns. Trabalha com os found footages é trabalhar com a historia de acordo com Keith Sanborm : « Penso ainda em uma coisa, que para as pessoas de minha geração a vídeo encarna o presente eterno, quando o filme encarna a historia. Lhe representa a categoria da memória do qual estava anterior, de uma maneira distinta da televisão e do vídeo. O found footage é uma forma concreta da historia, e trabalhar com este tipo de material da-vos a oportunidade de fazer investigações na historia que sempre foi para mim um assunto fascinante : criar significações da historia o encontrar-lhes criar coisas a partir do material pré existente . Com isto trabalha-se com a grande historia e também com as pequenas historias. E a possibilidade de anexar fluxos de representações que a gente não criava, mais que sofre-se, suporta-se, que atravessa-nos, habita nos, assombra-nos. Como Abigail Child constatava : “ A historia é escrita, retratada por e através a reprodução. Pensem a que conhecemos do far-west norte americano, e quanto vem de Hollywood. Os medias distribuem ficções, que tomamos como o real. O passado ficcional é vigorosamente reconstrói no processo .” Algumas seqüências repetidas de mais, deram formas (o assassinado do JFK para Bruce Conner, Oliver Stone, o 11 de setembro para muitos artistas contemporâneos e anônimos, a pendura do Saddam Hussein para Keith Sanborn, as motins dos subúrbios em 2005 na França , para Alex Chan alias Koulamata , e yann beauvais ) tanto quanto filmes mais clássicos que povoam abundantemente o nosso imaginária. O recurso aos found footages devi uma vingança sobre estes imagens que fascinam-nos e exasperam-nos. O uso dos filmes hollywoodiens fato para Martin Arnold, Peter Tscherskasky, Raphael Ortiz, ou Matthias Müller seja uma maneira diferente mostram uma irreverência para os imagens que povão-nos. “As qualidades plásticas do meu filme, longe do glamour original, são supostas dizer coisas sobre os caminhos que estas imagens percorram para atingir mim. Mais eu queria também entregar-los de uma maneira alterada, mas danificadas, como si não estive suficientemente degradar essas mulheres dominantes fazendo-las como minhas bonecas .” (Home Stories 1990) Estes imagens que fascinam nos sem que os sabemos e cuja apropriação assinara um efeito ‘camp’ põem por obra Nguyen Tan Hoang e Wayne Yung. Com The Big Sleep, Cyriaco Lopes, sublinha a cegueira do gringo na frente de um pais em via de desenvolvimento fazendo gaguejar seqüências.
Então o reciclagem participa da arqueologia, quem consiste a entregar em circulação objetos o representações e isto de uma maneira critica o não. A elaboração que propunha Michel Foucault em redor da noção do documento parece relevante cuja o uso do found footage na medida, ou a arqueologia evoca como uma sociedade dá estatuto à uma massa documental de acordo com séries de relações multiplicando as perspectivas aos e a partir destes documentos. E assim mesmo que os cineastas explorarão o potencial das seqüências de acordo com percurso e configurações inconcebíveis. Esse trabalho releva de uma estética, de uma política da diferenciações, em quais os documentos devem diagnósticos. Este afirmação de uma subjetividade talvez estende-se de acordo com os discursos minoritários em função do gênero, das raças , dos territórios. Em Triste Trópico (1974), Arthur Omar pergunta as visões que a gente tivesse do Brasil. Ele fala do projeto de este filme assim : “Um dia resolvi homenagear os 50 anos do seu filme En Rade (No Porto) realizando um filme experimental dedicado ao mestre. Utilizei apenas trechos de documentários etnográficos exibidos na televisão e outros encontrados no lixo de uma sala de montagem.
Através de refilmagens, trucagens, reenquadramentos, aumento de granulação, alteração desmesurada de mínimo detalhes da tela, repetições, criei um fluxo ininterrupto e hipnótico de ritmo e luz que descontraia o documentário tradicional, misturando as figuras de homens, animais, vulcões, tribos, arvores, estádios avalanche sem qualquer preocupação com a informação, apenas com a emoção do inconsciente atento. ”
Isaac Julian (1960) ou Charles Lofton interrogam a homossexualidade dos negros quando os filmes de Kevin Emerson são repostas no eventos do quotidiano, da condição social : dos gestos e tarefas das pessoas de descendência áfrica a partir do filmes de família o das reportagens. Bárbara Hammer e Abigail Child seguiram caminhos similares de acordo com uma óptica lesbiana.
O recurso aos documentos cinematográficos o televisais abrem campos das explorações quem se focalizam menos sobre o ajusto nos abismos que impulsiona frequentemente o uso das seqüências de filmes hollywoodiens, que sobre os usos e práticas do quotidiano. Assim se pode ver a vídeo de Regina Vater Todo dia que agonia (2010) em qual uma mulher lava as roupas, no centro da imagens uma incrustações do zapping de canais durante um dia no Brasil. A irrupção do intimo, do banal, do anônimo dos filmes sim qualidade, permite trabalhar com outros registros de acordo com topografias e cartografias mais o menos definidas. Se penso no uso que fizeram Michael Wallin, Jay Rosenblatt, Gretta Snider com os filmes educativos, ou Su Friedrich, Abigail Child usando filmes de família para fazer filmes que não sempre autobiográficos.
Estas apropriações definem novas modalidades de trabalho que desviam ao autoria. Por exemplo no filme Covert Action (1984) o uso dos filmes de família de dois irmãos partindo no fim de semana com diferentes companheiras é trabalhado com o som e com as imagens de modo que a parcialidade dos documentos quebra-se. Outros cineastas terão uma aproximada diferente do home movies, quem se desistir-se com dificuldade de uma fascinação para o documentos encontrados. Como observa Peter Forgacs : “existe uma pratica experimental por qual o material e totalmente subtrai de sue contexto social, cultural e psicológico, para criar uma expressão pessoal” . Um cinema vazio, quem estétiza as imagens de uma maneira nostálgica ; quem faz o luto que não se referia a uma vivencia fora da plasticidade das imagens.
O uso do found footage não se reduze ao cinema químico só. Este tipo de apropriação se encontra em todos os campos do cinema come lhe esta definido para Gene Youngblood : “além um meio dado. O cinema é então a arte de organizar um fluxo de acontecimentos audiovisuais no tempo. É um fluxo de eventos como a música. ” Si os lixos dos laboratórios, os mercados das pulgas foram para longe os espaços mais pertinente para encontrar : pescar os found footage, hoje as bancos de dados livre de acesso o não são muitos usados para encontrar os documentos a partir do quais os cineastas trabalham. Johan Grimonprez (1962) , Craig Baldwin (1952) tenham usado muito isto. O primeiro com o filme : Dial History (1997) o segundo com Tribulations 99 Alien Anomalies under América (1991) o Spectres of the Spectrum (1999). De seu lado, Keith Sanborn fez-se uma especialidade de perseguir filmes nas redes da internet, e apagar documentos na televisão que são disponíveis na internet. O filme seu Operation Double Trouble (2003) e também The Forces of Beauty (2008) interessam-lhes na produção de imagens pra os Marines dum lado e de outro lado por as forças armadas russas.
Si o aparecimento dos vídeos e leitores dvd tenham transformado os nossos uso das produções audiovisuais incitando nos a se tornar produtores, emissores a partir das listas a tocar, (play list) e outras coleções ; a generalização da prática da rede alterou mais ainda as relações que mantínhamos com as imagens em movimentos. Podemos interagir com mais velocidade aos acontecimentos e a loros comunicações. A acessibilidade, a apropriação, os desvio e a recontextualizaçao fazem-se em poucos tempos induzindo uma participação, uma interatividade que não ofereciam os instrumentos anteriores. Por exemplo The French Democraty foi postado no web o 22 novembro, ou seja antes que os motins são apagados.
O recuso nas técnicas do sampling e o acesso no software de montagem produzem uma democratização por multiplicações. A proliferação do desvios e do sampling constroem outros espaços para a difusão que funcionam ao lado dos quais mais tradicionais do cinema e da vídeo. You Tube, Daily Motion, Vimeo, Xtube… acrescentaram os espaços difusões e facilitaram em retorno a circulação e apropriação virtual. Hoje quanto filmes se realizam com o ajudo dos bancos de dados livre o não. Só o campo de uso do found footage e do sampling estão generalizando não tem o menos divido que as perguntas da representação das minorias foram um catalisador essencial na distribuição e circulação das imagens, inauguradas para os movimentos de liberações das mulheres e dos negros. A irrupção do Aids provocou via o queer studies um crescimento dos estudos e de produções quem se interessam e trabalham na imagens pornografia. Assim a questão da representação das mulheres como objeto do prazer e do voyeurismo foram questionadas por Peggy Ahwesh The Color of Love (1994), Naomi Uman em Removed (1999) a partir das seqüências dos filmes pornográfico dos anos 70, que se opõem com os trabalhos de Yves Marie Mahé (Bitte 2001, Va te faire enculer 1998), Scott Stark em Noema (1998) quando William E. Jones, interessa-se na produção pornô gae, (Massillon 1991, e Finished 1997) ou fazendo um trabalho de arquivista a partir das imagens de câmera de vigilância realizadas em 1962 nem lavabos públicos no filme Tearoom (1962-2007). As seqüências foram feitas para a policia no midwest para prosseguir homens fazendo sexo com outros homens em lugar publico. O cineasta Lawrence Brose observa ”para a comunidade gay que estava assistindo nestes filmes ; os pornôs gays dos anos 1920 e 30 estivessem como os filmes de família .” Este sentimento de pertença é auxiliado no Chat e nuns diversos blogos no quais se prepara-se para o espetáculo publico. Bate Papo 22cm (2001) de Edson Barrus trabalha com um Chat de pegações 1991 gay brasileiro quando Who is Live Now ? (2007) e uma apropriação das imagens do web, como fez Lionel Soukaz com seu www.webcam (2005).
Os jogos não estão fora da apropriação porque são laboratórios na produções e criações da imagens em movimento. Eddy Stern recicle números jogos (Settlers III Amazons, SinCity, Nuclear Strike, Delta Force, Command & Conquer, StarCraft, Red Alert, et Tom Clancey’s Rainbow Six) para seu filme Sheik Attack (2000) ou para Vietnam Romance (2003). Este ultimo projeto, compile fonte disponíveis unicamente com o ambiente da mesa de um computador : jogos, grafismos, musicas. Um remix da experiência do Vietnam com trilha sonora MIDI e extratos do vídeo games. Ao mesmo Peggy Ahwesh em She Puppet (2002) recicle seqüências do jogo Tom Raider, transformando a missão da Lara Croft.
Este exame rápido das praticas do found footage e do sampling permite de mostrar a importância de quais usos do desvios e loros aplicações contemporâneas seguindo os trabalhos iniciados para os cineastas experimentais e cujo alguns continuam trabalhar neste campo

Coisas de viado ! (Pt)

Retratos do Brasil Homossexual : fronteiras, subjetividades e desejo / Horácio Costa … São Paulo : Editora da Universidade de São Paulo : Imprensa Oficial, 2010

Para falar sobre a relação entre filmes experimentais e a cultura gay no Brasil, estarei focando este ensaio em poucos filmes. Parece que no Brasil, assim como em muitos outros países, o campo da produção experimental no cinema tem sido desenvolvido por indivíduos que com frequência pensam que estão produzindo alternativas para o cinema comercial. A prática de cinema e/ou de vídeo se tornou um ato de resistência, assim como uma forma de produzir imagens a partir de um espaço, que foi com frequência proíbido, censurado ou nem mesmo concebido.

Neste sentido, fazer filmes experimentais nos anos 60 e 70 foi uma forma de articular diferentes tipos de prática, dentre as quais foi muito importante a afirmação da subjetividade e do desejo, lado a lado a uma aproximação analítica ao aparato cinematográfico. Eu gostaria de enfatizar as possíveis correspondências encontradas entre a prática de cineastas brasileiros com a de cineastas de outras partes do mundo.

Vale lembrar a importância da produção cinematrográfica feita por cineastas gays e lésbicas na história do cinema experimental. Se pensarmos dentro desta história, veremos a importância de Jean Cocteau, Kenneth Anger, Gregory Markopoulos, e Curtis Harrington, em formar a figura do homosexual através do desejo, da ansiedade… A partir dos anos 30 e 40 o homosexual não é somente uma vítima, um fora da lei, um ser menospresado. O personagem do homosexual está a deriva no mundo, se reflete através do filme, que se afirma como uma forma de cinema pessoal, ou mais precisamente como cinema EU. Um cinema que expressa o eu, uma expressão pesoal através da câmera, com frequência mediada por um personagem vivido pelo diretor, seguindo o caminho aberto por Maya Deren com o filme Meshes of the Afternoon em 1943.

Em muitos destes primeiros filmes, a afirmação do desejo é condensada dentro de formas cinematográficas específicas, apesar da subversão da narrativa através do deslocamento, da fragmentação, e da rápida edição. Este cinema está lidando com a ruptura e o êxtase, portanto sua forma é mais livre, e não segue a narrativa canônica. A representação do desejo, sendo algo novo na tela, teve que encontrar novas soluções formais para se manifestar. Os filmes desses cineastas, que fazem parte da geração Americana e da Européia seguinte, consistem em revelar um sujeito através da busca da identidade, ou através de um ato autobiográfico, que será compreendido por uma iconografia específica como a do bad boy, ou a do rebelde para Kenneth Anger. Mas a maioria deles, pelo menos até os final dos anos 70, não se posicionará como representante de uma minoria. O que está em jogo é a afirmação do desejo individual e específico. Esse desejo e sexualidade são diferentes e consequentemente questionam o modelo dominante heterosexual, o que não significa que o cineasta representando um grupo. A partir de então, essa minoria pode vir a utilizar múltiplas representações que estão disponíveis e que podem ser compartilhadas/usadas/ e recicladas por seus membros. Nos anos 80 e 90 este fenômeno será importante dentro da comuninade gay Afro-americana, por exemplo, do mesmo modo como o foi para a comunidade lésbica nos anos 70 e 80.

Cineastas como Jean Genet, Sidney Peterson, Donald Richie, Jack Smith, Andy Warhol, Barbara Hammer, Jane Oxenburg, Maria Klonaris and Katerina Thomadak, entre outros, vão produzir representações de acordo com diferentes estratégias de questionamento, não somente do objeto de desejo, mas também de sua tradução em filme. Para mostrar a intrínseca natureza de seu objeto, os cineastas quebram a linearidade, utilizando-se não somente da edição acelerada (como a de Gregory Markopoulos e Kenneth Anger), ou a maneira incomum de gravar uma cena através do movimento da câmera, da sobreposição, das cenas desfocadas, para transmitir uma sensualidade que o cinema tradicional não transmite.

Reinvindicando uma sexualidade polimórfica e perversa através de figuras andrógenas (Jack Smith, Werner Schroeter), ou enfatizando figuras de inocência infantil como retratadas por Taylor Mead, ou afirmando uma urgência em relação à realização do desejo como no caso de Jean Genet, Kenneth Anger, e Barbara Hammer. A variedade de abordagens é essencial. Elas inscrevem multiplicidade no coração do cinema ecoando a diversidade de desejos e práticas que vão além da reprodução santificada. Desejo, prazer se tornam os aspectos principais para esse tipo de filmes, testando o limite daquilo que é posível filmar e mostrar. Da representação alegórica de atos sexuais à pornografia radical, o leque é bastante grande e tem sido muito bem explorada já há algumas décadas.

Parece existir uma relação próxima entre encenar este mundo invisível e a liberdade que cineastas experimentais desenvolvem em relação ao fazer dos filmes. Uma liberdade explorada de filme à filme, na qual a expressão pessoal e a busca pela identidade são os principais componentes. Se era possível jogar fora os códigos de narrativa, e um cinema de convenções, era portanto também possível apresentar pessoas diferentes. Esta diferença seria vista de forma ultrajante, como ‘Flaming Creatures’, no caso de Jack Smith e o Andy Warhol dos anos 60 e no Brasil, nos anos 70 e 80, com Hélio Oiticica ou Jomard Muniz de Britto. Aqui a ênfase é no camp, que na cultura gay é celebrado como forma de subversão da codificação do papel masculino, e também como manifestação do obsoleto e da estética ultrapassada e trash. O camp induz outra forma de codificação, uma encenação que muitas vezes será o centro do filme. Para conseguir estes resultados, cineastas irão insistir num aspecto ritualístico como na maquiagem, no figurino e na limpeza. Alguns exemplos podem ser encontrados em Lupe (1966) de José Rodriguez-Soltero, onde Mario Montez improvisou em volta da ascenção e queda de Lupe Velez, e se tornou uma sátira, Flaming Creatures (1963) (https://www.youtube.com/watch?v=YrAlBrWpDSw) de Jack Smith , onde o uso do batom provocou alguns momentos visuais interessantes, e My Hustler (1965) de Andy Warhol (extrato https://www.youtube.com/watch?v=D4e6U-TjBNg) , onde um garoto de programa loiro realiza diversas atividades, especialmente a cena no banheiro que lembra trabalhos anteriores como Haircut (1963). Estas atividades pareciam levar um longo tempo, ou mais precisamente, elas obedecem à uma expansão do tempo, o que as torna em algo especial. Parece que esta expansão empurra a audiência ao seu limite, tanto quanto a música experimental, como as de La Monte Young e Dream Syndicate 1 [1]. Este tempo expandido induz uma forma de transgressão em relação ao cinema convencional e seu rítmo, em direção a restrição da do narrativo criando um espaço original para figuras singulares que por acaso são gays, travestis, rejeitados… O que é exatamente o que Jack Smith estava fazendo em seus filmes, fotografias e performances, estendendo a duração da avant-scène, procurando entre os detritos a jóia que o filme, a performance, farão brilhar.

Em Agripina é Roma-Manhattan (1972), nós estamos exatamente em uma situação similar. Como Hélio Oiticica afirmou : Há um cineasta que quer me fazer de ator – filmes mudos underground : é Jack Smith, mito do underground americano, estive lá uma vez e ele depois ficou me procurando, até que …
Fui a uma projeção de slides com trilha sonora, uma espécie de quase-cinema, que foi incrível ; Warhol aprende muito com ele, quando começou, e tomou certas coisas que levou a um nível, é claro ; Jack Smith é uma espécie de Artaud do cinema, seria o modo mais objetivo de defini-lo
 [2]

Pode-se encontrar nos filmes de Hélio tendências similares como a aceitação da improvisação e uma fascinação por detritos. Em seu filme, Hélio utilizou Mario Montez (aka Dolores Flores, aka René Riveira) para atuar como um tributo a figura cult de Jack Smith.

Mario Montez e Antonio Dias estão vagando pelo centro de Nova York, jogando dados, mas não estão realizando nada. De alguma forma a performance é improdutiva, e neste sentido ela se aproxima da estética de Jack Smith [3] .

O convite de Mario Montez pedia por um mundo underground e criaturas que transgredissem as regras do planeta heterosexual, produzindo novas relações que gentilmente subvertem questões de gêneros, através de uma mistura de clichês, da jovem personagem feminina que parece uma modelo, uma noiva vermelha e um noivo gigolô, etc… Se homosexualismo é concebido, será na margem, como se por acaso. Mas de fato, assim como alguns filmes da vanguarda antecessora, mas de uma forma mais distanciada, o filme de Oiticica está lidando com questões de gênero). Tudo no filme é teatral, cheio de artefatos e glamour barato que demonstra o aspecto do camp, e autoriza essa interpretação. Neste filme, podemos dizer que a vida do homosexual é insinuada, mas não monstrada abertamente. Isso facilita a vida de muitos críticos que se recusam a falar sobre este aspecto de Hélio Oiticica, e portanto não farão a conexão entre este filme com os retratos de rapazes como na série Neyrótika (1973) ; como se alguém não devesse mencionar este aspecto queen do artista. Esconder este lado pode ser um programa, mas de forma geral nos mostra as dificuldades de uma sociedade em relação as diferenças, e reflete uma forte homofobia. Tudo isso é muito estranho/esquisito !

Com Jomard Muniz de Britto a cena é diferente. Seus filmes feitos em super 8 [4] lidam em parte com assuntos gays, de uma forma mais direta. No começo eles foram feitos com o grupo teatral de Recife : Vivencial Diversiones. Esses filmes compartilham muito com o teatro baseado na improvisação, no happening, e na reciclagem de objetos e personagens, seguindo a estética do lixo [5] , fazendo deles parte do reino estético promulgado por Jack Smith entre outros. De acordo com Sivério Trevisan : “Com Vivencial Diversiones, ser gay era um elemento inflamatório do elemento subversivo.” [6]

Elemento subversivo que pode ser visto nos filmes feitos por Jomard Muniz de Britto de 1974 até o final dos anos 70. O que está em questão aqui não é somente a afirmação da ambiguidade que subverte o papel e sua interpretação dentro dos códigos da sociedade, mas também a afirmação do caráter gay em todos os seus aspectos e variedades. Dois filmes de Jomard Muniz de Britto são exemplares : Vivencial 1 (1974 https://www.youtube.com/watch?v=Dnp9Y3m-yic) no qual a troupe questiona o mito do andrógeno, o que é seguido por uma espécie de orgia que acontece na escadaria de uma igreja. A dimensão ritualística, a atmosfera festiva, para não dizer carnavalesca, facilitam a subversão e a transgressão. O uso de símbolos religiosos e gozação dos representantes católicos evocam mais Jean Genet que o anti-catolicismo do surrealismo. Este filme retrata uma sexualidade livre, uma sexualidade fluída, a qual por não se atribuir à um objeto parece ter algumas similaridades com o que promulgou em seus filmes, Jack Smith. Inventário de um feudalismo cultural (1978 https://www.youtube.com/watch?v=k5bwOU2K6sM), mistura elucubrações de um grupo de travestis evocando uma jornada pela história do Recife. As figuras flutuantes dos travestis, e do rapaz são essenciais para este cineasta, tanto quanto foram tão proeminentes para Derek Jarman, ou Lionel Soukaz. Seus filmes parecem seguir uma pessoa só, até encontrar outra, e assim por diante. Oscila-se antes de ir de um para o outro, enquanto o garoto se vai trepando com outro. O que está em questão aqui é uma forma de militância pelo prazer, que significa neste caso, prazer gay e que encontramos em muitos filmes underground Europeus e Americanos das décadas de 60 e 70. Nesta ordem pode-se abranger os filmes de Jomard Muniz de Britto, aos do movimento hippie vistos nos trabalhos de Ron Rice e Saul Levine, que celebram a liberdade do sexo e das drogas.

Se, no mundo ocidental pode-se seguir um desenvolvimento regular dentro da cena de filmes experimentais, uma geração após a outra, parece que no Brasil este não foi exatamente o caso. A produção de filmes parece ter se modificado, como citado por Arlindo Machado entre outros, de filme para vídeo bem cedo, mas conforme minhas pesquisas até este momento falta um pedaço desta história, não que não houvesse uma produção nos anos 80, mas esta era certamente menos prevalente. O vídeo era a forma predominante já que estava mais disponível e de certa forma, mais barato que filmes.

Rafael França foi uma figura dominante dentro da vídeo arte no Brasil, segundo Arlindo Machado [7] ele teve um papel importante na junção entre as artes vísuais e a arte de vídeo, mas ocupou uma posição passageira. Alguns de seus trabalhos lidam diretamente com conteúdos gay, como O Profundo Silêncio das Coisas Mortas (1988) e Prelúdio de uma Morte Anunciada (1991). Se o primeiro lida com amor e traição entre dois amantes, ele é feito de uma forma que mistura passado com presente, memória com realidade. Neste sentido o vídeo está utilizando a possibilidade do deslocamento que a edição oferece nesse meio. O seu vídeo partilha com alguns trabalhos de Gary Hill um interesse por uma estrutura de narrativa elaborada, que não segue uma linearidade tradicional mas que envolve questões sobre a semiótica do aparato. O seu último trabalho lida com a questnao da Aids. Essa fita feita alguns dias antes de sua morte mostra dois corpos se acariciando (ele e seu namorado), enquanto nomes de alguns amigos (18 no total), passam sobre cenas em close das mãos, bocas, e faces dos dois amantes. Abre-se em preto e branco até que o texto sobrepõe-se aos corpos vestidos filmados em cor. Este filme lida com a Aids, e desta forma fala e retoma outros que lidam com o mesmo assunto. Se a propagação da epidemia da Aids foi dramática na comunidade gay, também impulsionou uma mudança no fazer de filmes nos final da década de 80. Primeiramente nos Estados Unidos e na Inglaterra e depois em todos os lugares com a erupção através do ativismo em torno da Aids do novo cinema gay. Para os cineastas e astistas, as questões eram múltiplas, por um lado ele deveria saber como produzir filmes que lutam contra a vitimização da comunidade gay, e por outro lado mostrar que ser gay nessa epidemia não significava a falta de prazer, de sexo. Para alguns cineastas isso significou fazer filmes lidando com questões que não eram abordadas até então, como a etnicidade (os trabalhos de Isaac Julian, Marlon Riggs foram cruciais naquele momento tanto quanto o trabalho de Richard Fung), pornografia transgênicos, etc … [8]
Cineastas e artistas estavam preocupados com tópicos nos quais a questão da comunicação estava em jogo, ou seja, como acessar uma audiência mais expandida, para poder transmitir a mensagem ou a contra-mensagem e produzir alternativas para a mídia dominante hetero. Vídeo e Aids tem sido um campo fértil de produção devido à urgência da crise, e porque a Aids revelou, como ainda faz, uma sociedade feita de desilusão e tabus [9] . Esta fita do Rafael França foi uma das primeiras a lidar com a Aids no Brasil (1991) de uma forma alegórica. Esta, mostra um amante acariciando, beijando, mas você não vê o seu rosto, exceto no final, onde vemos que este personagem é o próprio artista. As estratégias utilizadas neste vídeo são similares, até mesmo similares à trabalhos feitos por diferentes ativistas com o propósito de mostrar que o afeto entre homens existe à despeito da Aids. Neste sentido pode-se ver uma conexão entre o trabalho de Rafael França e teses de Grand Fury, Tom Kalin, Gregg Bordowitz, e John Lindell para citar alguns. Não é a raiva que é dominante, mas o afeto, que é próximo à melancolia e a tristeza [10]. Esta forma de melancolia, que me faz pensar em Saudade, também está presente em diferentes fitas de Cyriaco Lopes, ao qual iremos retornar.

Em Paixão Nacional (1994), Karim Ainouz com seu filme de 16mm sugeriu diferentes questões, lidando com o turismo sexual e com o fato de que para um brasileiro não é muito fácil ser reconhecido como homosexual. De certa forma o filme fala da paixão dominando a razão. O filme mistura diferentes técnicas que se relacionam com a tradição de filmes de diário, mas sabe-se que é uma mera ficção e não um documentário, que mistura duas vozes. Uma é a do extrangeiro fascinado pela sensualidade do Brasil, e a outra é a do brasileiro morrendo pela hipocrisia de seu país. Neste sentido o filme compartilha mais com algumas das questões que o Novo cinema Queer estabeleceu em filmes de Tom Haynes [11] , Gregg Araki [12], e Rose Troshe [13] …o que será confirmado, pelo seu longa – Madame Satã (2001).

Os dois últimos artistas de que gostaria de comentar brevemente, fazem filmes/ fitas em conjunção com outras práticas visuais. Cyriaco Lopes começou seu trabalho no Rio de Janeiro mas mora nos Estados Unidos já faz nove anos, enquanto Edson Barrus [14]vive entre São Paulo e Paris e começou a fazer vídeos quando morava no Rio de Janeiro no final da década de 90.

Em Beijos de Língua (2005-2006), e em Lovers and Saints (2007) os conteúdos são mais explicitamente gays que em outros trabalhos do artista, mas ao mesmo tempo não são travalhos ativistas. Eles abordam uma temática gay entre outros assuntos. Eles inscrevem, para dizer que não anexam, conteúdo gay. Em Beijos de Língua, as fitas feitas de frases curtas evocam situações peculiares de conteúdo cifrado que pode ser interpretado como camp, como gay, assim como se podia encontrar em muitos filmes de Hollywood quando era proíbido/censurado lidar com certos assuntos. Aqui encontramos uma estratégia similar mas com um toque poético. Nós falamos sobre isto sem sermos muito óbvios, insistentes, gentis e de certa forma bem quietamente. Estamos bem longe da provocação dos anos 60 e 70 onde excesso era essencial. Estamos num tempo onde a homosexualidade é aceita como uma forma de se viver, onde não se briga mais pela diferença… questão de crença. Neste trabalho, os textos são de fato um pretexto para outra história : Traçando a genealogia da lingua portuguesa, demonstra-se como a mistura a constitui. De uma certa forma estas noções de híbridismo são também produtivas em Lovers and Saints, no qual imagens de criminosos, homens mais procurados, são apresentados como amantes e santos. À estética utilizada aqui nos lembra Pierre e Gilles, uma certa paródia kitshy..

Alguns dos trabalhos de Rafael França e Cyriaco Lopes compartilham estratégias estéticas em torno da fragmentação e do uso das palavras como representação [15] , que foram utilizadas por alguns artistas chamados pós-modernos e em filmes e vídeos ativistas em sua maioria ; é aqui que encontramos o gay e a Aids, no qual o uso do texto é fator chave para a articulação de diferentes níveis de significado, apesar da velocidade de suas aparições como nos trabalhos de Tom Kalin, John Lindell, ou meus próprios trabalhos..

As fitas de Edson Barrus que eu quero discutir são trabalhos realizados, mas pouco vistos. Parece que estes trabalhos que lidam principalmente com a reciclagem de imagens gays pornográficas precisam ser feitos, mas não existem para serem promovidos como a maioria dos vídeos do artista. Trabalhar com imagens pornográficas explícitas sempre foi importante para a cena gay [16]. Estes vídeos constituem um tipo de coleção, catalogando um cenário similar de sexo de diferentes filmes. Eles reconhecem a democratização do acesso à pornografia que de certa forma aboliu as fronteiras e está disponível à quase todos em qualquer lugar do mundo em fitas e DVDs. O cinema não é mais o único lugar onde estes filmes são vistos.

Muitos cineastas experimentais influenciaram a produção pornográfica nos final dos anos 60 e começo dos anos 70 nos Estados Unidos [17], ou por fazerem filmes que beiravam a pornografia (ver os problemas ocorridos nos anos 60 e 70 com Jean Genet, Jack Smith, Kenneth Anger, ou Shuji Terayama e nos anos 80 com Lionel Soukaz [18]) ao empurrar o limte do que era aceito pela sociedade dentro da representação cinematográfica, ou fazendo o que era considerado pornografia do qual Pink Narcissus(1971 James Bidgood https://www.youtube.com/watch?v=lhuOGAGmXY0) poderia ser um exemplo histórico, ou Sodom (1989) de Luther Price que foi recentemente re-editado para que pudesse ser mostrado com mais abrangência [19]. Nos anos 80 muitos cineastas experimentais pelo mundo inteiro trabalharam com found footage/material filmico encontrado [20]. No entando, parece normal que como um objeto as imagens pornográficas tanto como a mídia, a web não será excluída desta apropriação. Muitos cineastas experimentais gays, têm desde os anos 80, incluído dentro de seus filmes imagens pessoais roubadas de filmes pornográficos, re-filmados da televisão ou piratiados de DVDs. À epidemia da Aids colocou em questão alguns comportamentos sexuais e nota-se que assistir filmes pornô se tornou um hábito compartilhado por todos. Não é mais um comportamento escondido e encoberto.

A inclusão do fórum gay é o objeto do Bate Papo 22cm (2001) no qual a tela é rabiscada e filmada durante uma conversa com algumas pessoas. O uso privado se torna público. À exibição dessa troca questiona a noção mesma do sexo privado e público. O que há de interesse neste vídeo é o fato de que estamos imersos num tempo diferente, ajustando à uma troca na qual somos somente o receptor passivo ? Mas este novo campo aberto que Lionel Soukaz explorou com um de seus videos mais recentes : www.webcam (2005) no qual ele evoca a prática do encontro contemporâneo dentro do universo gay através da imagem e da interação que pela web é sempre induzido pela imagem. Isto não é sem lembrar uma das frases ditas por ele ou por Guy Hocquenghem em Race d’Ep (1979) que a foto de um homem jovem será sempre o item mais emocionante. É sempre uma questão de representação e, mais importante, uma questão de como lidar com a representação.

Em outros trabalhos é a reciclagem de imagens pornô, uma forma de apropriação e revisitação de algumas sequências que dão à estas imagens outra dimensão. De fato os filmes que vemos feitos por Edson Barrus são uma re-filmagem, feita com uma camera digital pequena, ouve-se na trilha sonora a respiração do artista dando uma codificação suplementar à imagem. Nós assistimos não somente à um filme pornô, mas somos testemunhas de uma pessoa assistindo e selecionando sequências e escolhendo parte das imagens para se olhar. A conjunção destas temporalidades é estimulante porquê é reflexiva e nos coloca em outra dimensão, incluindo nosso próprio olhar como uma outra camada de codificação. Isso acontece nos filmes Pour hommeFilmex, e Xbookfeitos em 2005, ou até em 69 e THEND, os dois de 2006. Muitos filmes tem lidado com imagens similares mas eles eram uma apresentação de coleção, como no caso de alguns de Hundred Videos (1992-96) de Steve Reinke, ou All You Can Eat (1993) de Michael Brynntrup, ou More Intimacy (1999) de Chen Hui Wu. A especificidade de vídeos do artista Brasileiro tem a ver com a inclusão dele, mesmo através do som da respiração e do tremor da camera. Em ambos os casos o corpo do expectador/ cineasta é incluído no processo, e faz parte do que vemos. O uso privativo se torna público. Ele se torna parte do filme que estamos assistindo. Nos não estamos sosinhos ! Em Filme X, por exemplo, ouve-se ruídos que não vem dos vídeos, mas da filmagem, e é -se transportado para outra paisagem imaginária, que transforma ou duplica a nossa experiência de voyeur, e isto especialmete porque neste filme existe uma forte ênfase na abstração da imagem devido à camera lenta, foco suave ou closes extremos, borrando formas e cores, algumas vezes padrões opticos moiré transformam os corpos.

Com Videopunhetas, um trabalho em andamento iníciado em 2001, o artista se masturbou em frente ao monitor que esta mostrando uma masturbação precedente. Um trabalho em uníssono ! Um pinto encarando sua própria imagem. Todas estas masturbações são feitas para vídeos e evocam trabalhos anteriores feitos por Vito Acconci. Nós podíamos ouvi-lo, mas não vê-lo pois estava escondido embaixo do chão da galeria. Trinta anos se passaram desde a exposição, nós estamos agora encarando o espetáculo da sexualidade que foi realizado para e com a assiatência de novas ferramentas digitais. O que é importante nesta experiência feita por Edson Barrus, a despeito do orgasmo descrito ou não, é o fato de que os filmes foram mostrados numa galeria. O deslocamento do olhar, a locação onde o evento foi mostrado, transformou e colocou em questão este espaço público, que foi invadido por partes íntimas. É um acesso diferente e maior abertura do que os oferecidos pelo papo virtual ou pelos sites como o X-tube no qual pode-se ver e compartilhar os próprios encontros sexuais ou masturbação com qualquer um procurando a fita.

Parece que com trabalhos deste tipo, o que estava em questão inicialmente para a maioria dos cineastas experimentais que lidam com o cinema pessoal, era fazer imagens que afirmem a identidade do artista, seu desejo tanto como suas imagens foram democratizadas de maneira que qualquer um pudesse fazê-lo. Para a maioria dos cineastas hoje novas questões em relação à acessibilidade a enorme quantidade de trabalho pruduzido vão modificar a investigação voltada ao processo de criação audiovisual.

O que ainda é surpreendente é o fato de que apesar da produção de filmes pela indústria que incluem conteúdos gay, ou até novelas, questões gays parecem com frequência entendidas commo de menor importância, e são deenfazidas não somente pelos críticos, mas também pelos próprios autores, como se fossem sempre um trabalho secundário. Espero que isto seja somente uma questão de ignorância da minha parte…

Tradução : Marília Fernandes
Relectura por Cyriaco Lopes e Edson Barrus


[1] Neste exemplar ver Branden W. Joseph : Beyond the Dream Syndicate, Tony Conrad and the Arts after John Cage, Zone Books, New York 2008.

[2] 2 ver Hélio Oiticica Quasi-Cinema, ed Carlos Basualdo, Wexner Center, Hatje Cantz, publishers, 2001, e carta para Waly Salomão, 25/04/71, arquivo projeto HO.

[3] Com frequência críticos focam-se na natureza inacabada do trabalho para minimizá-lo. André Parente ; Cinema de vanguarda cinema experimental e cinema do dispositivo em Filmes de Artista Brasil 1965-80, curadoria de Fernado Cocciarale, Contacapa, Rio de Janeiro 2007.

[4] Para uma filmografia de Jomar Muniz de Britto, Marginália 70, O experimentalismo no Super-8 Brasileiro, por Rubens Machado Junior, Itau Cultural 2002, para um estudo sobre ele ver :http://www.yannbeauvais.fr/article.php3?id_article=360

[5] JMBritto em Vivencial diversiones, Memórias da Cena Pernambucana 01, Leidson Ferraz, Rodrigo Dourado e Wellington Júnior, Recife 2005, e Nos abismos da Pernacumbalia.

[6] 1986, p.131 citado em Tentative Trangression Homosexuality, Aids and the Theater in Brazil, por Sevério João Medeiros Albuquerque, University of Wisconsin Press, 2004, e João Silvério Trevisan : Devassos no Paraíso 6a p 327/29 coleção contraluz, edição Record Rio de Jjaneiro/São Paulo, 2007

[7] As linhas de força do video brasileiro in Made in Brasil, três décadas do video brasileiro, org de Arlindo Machado, Itau Cultural, São Paulo 2007

[8] Um dos primeiros textos sobre esse assunto foi : How do I Look : Queer Film and Video, ed Bad Object- Choices, Bay Press, WA 1991, mas também Queer Looks : Perspective on Lesbian and Gay Film, de Martha Grever, John Greyson e Pratbha Parmar, Routledge, London 1993

[9] Sobre Aids e vídeo ; Bill Horrigan : Notes on Aids an its Combatant in Michael Renov ed.,Theorizing Documentary, New-York, Routledge, 1993 e yann beauvais De la vidéo et du Sida in Vidéo Topiques, Éd. Les Musées de Strasbourg / Paris Musées, 2002.

[10] Sobre melancolia e Aids, Douglas Crimp : Melancholia and Moralism Essays on AIDS and Queer Politics, MIT Press, 2002, inicialmente publicado em Outubro °43, AIDS Cultural Analysis / Cultural Activism MIT press 1987 e 1988

[11] Poison 1991,

[12] The Living End 1992

[13] Go Fish 1994

[14] Sobre Edson Barrus, yann beauvais La vidéo selon Edson Barrus in Revue & Corrigée issues Sept 2008 n° 77, e Dec 2008. Na Internet http://www.yannbeauvais.fr/article.php3?id_article=374

[15] Eu curei uma exposição no centre Pompidou chamada Mot : dites, images, (imagens como texto em filme e vídeo), ed Scratch, Paris 1987

[16] Thomas Waugh : Hard to Imagine : Gay male Eroticism in Photography from their Beginnings to Stonewall, Columbia University Press, 1996, é um estudo exemplar.

[17] Ver David E. James : The Most Typical Avant-garde, History and Geography of Minor Cinema in Los Angeles, University of California Press, Berkeley 2005

[18] Respectivamente : Un chant d’amour (1950), Flaming Creatures (1963), Scorpio Rising (1964),L’empereur Tomato Ketchup (1971), Ixe (1980).

[19] Hoje em dia este filme está disponível para aluguel e visualização no site Light Cone. Este último filme lida de forma geral com a reciclagem de filmes gay hardcore de uma forma que se aproxima àlgumas estratégias instauradas pela Boston college of arts na década de 80.

[20] Em Found Footage : yann beauvais, Jean Michel bouhours, Monter Sampler, centre Pompidou Paris 2000 ; Eugenie Bonnet : Desmontaje, Film, video /apropriacion, reciclaje, Ivam Valencia, 1993 ; James Paterson : Dreams of Chaos : Understanding the American Avant-garde Cinema, Wayne Sate University, Detroit 1993 ; William Wees : Recycled Images The Art and Politics of Found Footage, NY Anthology Film Archives, 1993